Dourlers

Dourlers
Dourlers
Entrée du village.
Blason de Dourlers
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Avesnes-sur-Helpe
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de l'Avesnois
Maire
Mandat
Freddy Thery
2020-2026
Code postal 59440
Code commune 59181
Démographie
Gentilé Dourlésiens
Population
municipale
539 hab. (2021 en évolution de −10,17 % par rapport à 2015)
Densité 62 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 10′ 37″ nord, 3° 56′ 14″ est
Altitude Min. 158 m
Max. 205 m
Superficie 8,74 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Maubeuge (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Avesnes-sur-Helpe
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Dourlers
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Dourlers
Géolocalisation sur la carte : Nord
Voir sur la carte topographique du Nord
Dourlers
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Dourlers

Dourlers est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France.

Géographie

Dourlers se situe dans le sud-est du département du Nord (Hainaut) en plein cœur du Parc naturel régional de l'Avesnois. L'Avesnois est connu pour ses prairies, son bocage et son relief un peu vallonné dans sa partie sud-est (début des contreforts des Ardennes), dite « petite Suisse du Nord ».

En fait, Dourlers fait partie administrativement de l'Avesnois, géologiquement des Ardennes, historiquement du Hainaut et ses paysages rappellent la Thiérache.

La commune se trouve à 100 km de Lille (préfecture du Nord), Bruxelles (Belgique) ou Reims (Marne), à 45 km de Valenciennes, Mons (B) ou Charleroi (B) et à 7 km d'Avesnes-sur-Helpe (sous-préfecture).

Le village est bordé par les communes de Bas-Lieu, Floursies, Semousies.

La Belgique et le département de l'Aisne se trouvent à 15 km.

Dourlers est placé sur l'axe routier connu qu'est la RN 2 (route nationale 2) reliant Paris à Bruxelles (via Laon, Avesnes-sur-Helpe, Maubeuge).

Communes limitrophes

Hydrographie

Réseau hydrographique

La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Tarsy, le ruisseau d'Eclaibes, le ruisseau Des Marquettes, le Cense du Temple[1], le ruisseau de la Braquenière[2] et un autre petit cours d'eau[3],[Carte 1].

La Tarsy, d'une longueur de 15 km, prend sa source dans la commune de Beugnies et se jette dans la Sambre canalisée à Leval, après avoir traversé huit communes[4].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Dourlers[Note 1].

Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : l'étang de la Buse (0,7 ha)[Carte 1],[5].

Gestion et qualité des eaux

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Sambre ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 253 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Sambre. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le , puis modifié le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte du Parc naturel régional de l'Avesnois[6].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 888 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 10,3 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe à 5 km à vol d'oiseau[9], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 802,4 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Urbanisme

Typologie

Au , Dourlers est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Maubeuge (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[14]. Cette aire, qui regroupe 65 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (46,2 %), terres arables (41,8 %), zones urbanisées (6,6 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %), forêts (2,3 %)[17]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Durlerum en 1111 (cartulaire de l'église de Cambrai) ; Dourleers en 1186 (J. de Guise, 339) ; Dorleir en 1189 ; Dorlers, Durler en 1206 (cart. de l'abb. d'Alne) ; Dorler en 1252 (id.) ; Dourlers en 1254 (arch. de la pairie d'Avesnes) ; Dourleis en 1254 (cart. du Hainaut) ; Dourleïs en 1273 (1er cart du Hainaut) ; Dourler en 1324 (2e cart. du Hainaut) ; Dourles en 1324 (id.) ; Dourlers en 1349 (pouillé de Cambrai) ; Dourlai (documents divers)[18],[19].

D'après Maurits Gysseling, Dourlers (comme Deurle) est formé des éléments germaniques dura- signifiant « ivraie, mauvaise herbe » et hlǣri « terrain marécageux boisé », qu'on retrouve aussi dans les toponymes Leers ou Hucqueliers[19]. Albert Dauzat y voit le nom de personne germanique Duro, suivi du germanique lar « clairière » (comprendre vieux bas francique *hlār > ancien néerlandais lār, hlār > néerlandais laar « clairière », sorti de l'usage), d'où le terme d'ancien français larris (variante lairis) « lande, bruyère, terrain en friche »[20] resté dans les dialectes d'oïl, dont picard larris « pelouse sèche, lande »[20], normand brayon larris « pâturage ».

Voir aussi Flers

Histoire

Près du cimetière, se trouve le "mur des Sarazins" dernier vestige de l'aqueduc qui allait de la fontaine de Floursies (devenue fontaine Saint-Elois au XIe siècle) pour alimenter en eau Bavay alors bagacum en passant par Pont-sur-Sambre dont la patronne Notre-Dame de Quartes a été dérobée dans les années 70. Quartes exprimant à l'origine, la notion de croisement entre la Sambre et l'aqueduc.

Avant la Révolution française, Dourlers est le siège d'une seigneurie. Au XVIIIe siècle, elle est détenue par la famille Bady dont Pierre, seigneur d'Aymeries[21].

Antoine François Bady, fils de Pierre Bady seigneur d'Aymeries et d'Anne Charlotte Bodart, écuyer, est seigneur du Sart de Dourlers, Normont, Arbre, Rouville, et grand bailli d'Avesnes. Il est enterré à Dourlers le . Il épouse par contrat du Marguerite de Rouillon de Castagne, fille de François, seigneur d'Arbre, et de Marie Grossaux. Elle meurt en 1768[22]. Le couple a eu 11 enfants.

Antoine François Joseph Bady (1713-1780), fils d'Antoine François, écuyer, seigneur du Sart de Dourlers, nait à Avesnes le . Il est nommé grand bailli d'Avesnes le , et meurt à Chaumont le . Il épouse d'abord le Thérèse Josèphe de la Fitte de Caupenne, fille de François, écuyer et de Marguerite Thérèse de Daries, mort en 1749, puis Anne Louise Lamirault de Cerny. Du premier lit, lui nait une fille morte encore enfant[23].

À la suite de la subdivision des départements français en districts, à compter de 1790, Dourlers devient Chef-lieu de canton du même nom et appartient au district d'Avesnes jusqu'en 1795, date à laquelle les districts sont supprimés par la constitution du 5 fructidor An III (22 août 1795).

En 1793, le tambour Stroh, âgé de 15 ans, y est tué le 15 octobre 1793.

À la suite de la loi du 28 pluviôse an VIII (17 février 1800) qui crée les arrondissements pour remplacer les districts, Dourlers fait partie de l'arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe créé au regard de l'arrêté en date du 17 ventôse an VIII.

Sur Dourlers existait une carrière de marbre dit brèche du Haynaut car ayant quelque ressemblance avec la brèche d'Alep[24].

Dourlers figure sur les plans du cadastre du Consulat de 1806[25] et sur ceux du cadastre napoléonien du 1813 et 1868[26].

Politique et administration

Maire en 1802-1803 : Antoine Leconte[27].

Maire en 1807 : Renon[28].

Maire en 1881 : Desmasures[29].

Maire en 1939 : Dehon[30].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 mars 2020 Fabrice Piotrowski LR Enseignant
Réélu pour le mandat 2014-2020
mai 2020 En cours
(au 30 juin 2020)
Freddy Théry SE Directeur de patrimoine
Élu pour le mandat 2020-2026[31]
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].

En 2021, la commune comptait 539 habitants[Note 3], en évolution de −10,17 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
503517614779738840918915940
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
960950940775729713726716725
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
663654616598610608619694688
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
746748710622582568550545577
2018 2021 - - - - - - -
554539-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,4 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 272 hommes pour 282 femmes, soit un taux de 50,9 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
0,7 
6,6 
75-89 ans
11,3 
15,1 
60-74 ans
16,3 
21,7 
45-59 ans
19,9 
21,3 
30-44 ans
18,4 
13,2 
15-29 ans
13,1 
21,3 
0-14 ans
20,2 
Pyramide des âges du département du Nord en 2021 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,3 
75-89 ans
8,1 
14,8 
60-74 ans
16,2 
19,1 
45-59 ans
18,4 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,7 
15-29 ans
19,1 
20,2 
0-14 ans
18 

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

  • L'église de l'Immaculée-Conception de 1859
  • La mairie de 1840
  • Le château de Dourlers
  • Le kiosque à musique du type kiosque à danser.
  • Le monument aux morts.
  • Plusieurs chapelles - oratoires disséminées, dont la chapelle Notre-Dame-de-Walcourt (1846), et la chapelle Saint Julien (vestige d'un hospice du XVIe siècle), objet d'une campagne de sauvetage menée par les jeunes bénévoles du Club du Vieux Manoir depuis 2018[38].
  • Le cimetière militaire situé au fond du cimetière communal.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Les armes de Dourlers se blasonnent ainsi : "D'azur au lion d'or tenant en ses pattes une clef d'argent, le panneton en haut et à dextre".

Pour approfondir

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

Notes

  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes

  1. a et b « Réseau hydrographique de Dourlers » sur Géoportail (consulté le 21 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

  1. Sandre, « le Cense du Temple »
  2. Sandre, « le ruisseau de la Braquenière »
  3. « Fiche communale de Dourlers », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
  4. Sandre, « la Tarsy »
  5. « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
  6. « SAGE Sambre », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Dourlers et Saint-Hilaire-sur-Helpe », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « St-hilaire-sur-helpe » (commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « St-hilaire-sur-helpe » (commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  13. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Dourlers ».
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Maubeuge (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Bulletin de la commission historique du département du Nord, tome IX, 1866
  19. a et b « Maurits Gysseling: Toponymisch Woordenboek (1960) p. 284 », sur bouwstoffen.kantl.be (consulté le ).
  20. a et b Frédéric Godefroy, Dictionnaire de l'ancienne langue française et de tous ses dialectes du IXe au XVe siècle, édition de F. Vieweg, Paris, 1881–1902, p. 728b
  21. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises », tome 1, dans Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, tome 12, 1906-1909, p. 9, lire en ligne.
  22. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises », tome 1, dans Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, tome 12, 1906-1909, p. 11, lire en ligne.
  23. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises », tome 1, dans Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, tome 12, 1906-1909, p. 11-12, lire en ligne.
  24. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 191, lire en ligne.
  25. site internet des Archives départementales du Nord
  26. site internet des Archives départementales du Nord
  27. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 276, lire en ligne.
  28. « Annuaire statistique du département du Nord. Pour … (0000AnNord_0... », sur Mnesys (consulté le ), p. 128-129..
  29. « Le Petit Nord : journal politique quotidien ["puis" journal républicain quotidien du matin "puis" journal républicain absolument indépendant] », sur Gallica, (consulté le ), p. 2-3..
  30. Annuaire administratif et statistique du département du Nord-Année 1939, p. 96.
  31. « Dourlers: Freddy Théry est le nouveau maire du village », La Voix du Nord,‎ .
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Dourlers (59181) », (consulté le ).
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  38. « Dourlers: les travaux ont repris à la chapelle Saint-Julien », sur La Voix du Nord, (consulté le ).