Didier Le Bret est ministre plénipotentiaire depuis le mois de [16]. Le , il est nommé ambassadeur à la gestion des crises à l'étranger[6].
Lors du Conseil des ministres du , il est nommé coordonnateur national du renseignement (intérieur, extérieur, militaire, douane et anti-fraude financière)[8].
Après sa carrière diplomatique, Didier Le Bret se reconvertit dans l'« intelligence économique », au service d'ESL & Network, une entreprise qui compte parmi ses clients des dictatures militaires comme le Cameroun : le fait qu'un ancien diplomate, qui « a eu accès à des informations "confidentiel-défense" » monnaye à présent son expérience et son carnet d'adresse pour des entreprises et États étrangers a suscité des réactions indignées dans les médias[19].
À côté de sa carrière professionnelle, Didier Le Bret s’engage dans la vie associative et l'action citoyenne. Il est à l’initiative de la création de l’association Rendez les doléances qui demande au gouvernement de rendre publics et en ligne les cahiers citoyens du grand débat national, aux côtés de personnalités du monde associatif et politique dont Thomas Ribémont, ancien président d’Action contre la faim et Dorian Dreuil[20],[21],[22][réf. nécessaire].
2002-2005 : Administration centrale (Coopération internationale et développement), délégué dans les fonctions de sous-directeur du cinéma et de la coopération audiovisuelle[7].
2005-2007 : Deuxième conseiller, conseiller de coopération et d’action culturelle à Dakar[7].
2007-2009 : Conseiller, puis directeur adjoint au cabinet du secrétaire d’État, chargé de la Coopération et de la Francophonie[7].
↑Odile Benyahia-Kouider, « D'anciennes gloires des Affaires étrangères ne sont pas étrangères aux affaires », Le Canard Enchaîné, no 5179, .
↑« « Le gouvernement doit rendre disponibles, en ligne, l’ensemble des “cahiers citoyens” en open source » », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
↑« Grand débat : à la recherche des doléances perdues », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le ).