À l'origine, acteur sur le marché des avertisseurs de radar, la société a infléchi son positionnement vers l'aide à la conduite, notamment à cause de l'évolution législative dans ce domaine.
Historique
Création
En 2002, Fabien Pierlot, lance un service audiotel surtaxé d'information sur la position des radars fixes : Flash Info[1].
En mai 2011, le gouvernement Fillon du président de la RépubliqueNicolas Sarkozy prévoit une loi interdisant l'utilisation des avertisseurs de radar. Sentant le vent de la menace, le fondateur de la société mobilise les automobilistes et monte au créneau auprès des parlementaires. Il réussit à sauver son concept en le transformant en un système d'assistance d'aide à la conduite qui permet d'avertir le conducteur des zones dangereuses (dont font partie, entre autres, les radars)[1].
En 2014, la société réfléchit à une introduction en bourse, 21 Centrale Partners désirant se retirer[5]. Cette réflexion sera contrecarrée par la chute des marchés boursiers à l'automne 2014[6].
Reprise en main par le fondateur
En janvier 2015, le fonds d'investissement 21 Centrale Partners (qui détenait 50 % du capital) et l'animateur Arthur (qui détenait 10 % du capital) sortent du capital de Coyote System. Les fondateurs (Fabien Pierlot et Jean-Marc Van Laethem), au sein de la structure Coyote Partners, montent à hauteur de 80 % du capital (ils détenaient auparavant 40 % du capital). La société est alors valorisée 120 millions d'euros[7]. Le fonds d'investissement HLD (dont les fondateurs sont Jean-Philippe Hecketsweiler, M. Lafonta et Philippe Donnet) prend une participation de 20 % au capital de Coyote System[8]. En avril 2015, Benoît Lambert est nommé Directeur Général de Coyote[9].
Principal concurrent
Le principal concurrent sur le marché est Waze qui, racheté par Google, bénéficie de la puissance financière de ce dernier et de la gratuité de son application mobile qui, de plus, ne nécessite pas de boîtier contrairement à Coyote[5] (à noter que l'application Coyote est aussi disponible sur mobile).