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Rendre les stock-options plus attractives du fait de la liquidité des actions ;
Faciliter le financement de futures acquisitions en permettant de les payer en actions.
Le consensus propre à une époque historique en matière de politique économique favorise aussi le phénomène (privatisation versus nationalisation).
Inconvénients
Il existe en revanche plusieurs désavantages liés à une introduction en bourse :
Coûts juridiques, comptables et de marketing significatifs tant lors de l'opération qu'ultérieurement ;
Obligation de rendre publiques des informations financières et commerciales de l'entreprise ;
Demande beaucoup de temps et d'effort pour le management ;
Risque d'échec de l'offre elle-même : que les fonds levés soient inférieurs aux attentes ;
Perte de contrôle et augmentation du "problème principal-agent" en raison de l'augmentation du nombre d'actionnaires et / ou de la dilution des blocs de contrôle antérieurs ;
Risque d'alignement de la stratégie sur les attentes court-terme du marché financier et des analystes ;
Une société admise à la cotation sur un marché public peut faire l'objet d'une OPA ou d'une OPE et être rachetée.
Afin de pallier certains des inconvénients d'une introduction en bourse, une entreprise peut décider à la place de fusionner avec un SPAC.
Technique liée
La surallocation ou option de surallocation[5] désigne une technique boursière qui permet de contrôler les variations d'une action lors de son introduction en bourse. L'entreprise qui s'introduit en bourse accorde une option de surallocation à la banque chef de file, portant sur davantage d'actions que prévu. Ainsi, en cas de forte demande de la part des investisseurs, la banque pourra en exerçant son option allouer plus de titres ou d'obligations aux investisseurs.