Le comté de Lotbinière était un comté municipal du Québec ayant existé entre 1855[1] et le début des années 1980. Le territoire qu'il couvrait est aujourd'hui compris dans les régions administratives de Chaudière-Appalaches et du Centre-du-Québec, et couvrait une partie des MRC actuelles de Lotbinière et de Bécancour. Son chef-lieu était la municipalité de Sainte-Croix.
Municipalités situées dans le comté
Le comté de Lotbinière comprenait à sa création les paroisses de Saint-Sylvestre, Sainte-Agathe, Saint-Gilles, Saint-Antoine, Saint-Flavien, Sainte-Croix, Lotbinière, Saint-Jean et Deschaillons, ainsi que les augmentations des seigneuries de Deschaillons et de Lotbinière et la partie de la seigneurie de Sainte-Croix non comprise dans les paroisses mentionnées[19].
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
- ↑ Acte des municipalités et des chemins de 1855
- ↑ Banque de noms de lieux du Québec, entrée Deschaillons-sur-Saint-Laurent
- ↑ Banque de noms de lieux du Québec, entrée Fortierville'
- ↑ Banque de noms de lieux du Québec, entrée Laurier-Station
- ↑ a et b Banque de noms de lieux du Québec, entrée Leclercville
- ↑ a et b Banque de noms de lieux du Québec, entrée Lotbinière
- ↑ Banque de noms de lieux du Québec, entrée Saint-Agapit
- ↑ a et b Banque de noms de lieux du Québec, entrée Sainte-Agathe-de-Lotbinière
- ↑ a et b Banque de noms de lieux du Québec, entrée Sainte-Croix
- ↑ Banque de noms de lieux du Québec, entrée Saint-Édouard-de-Lotbinière
- ↑ Banque de noms de lieux du Québec, entrée Sainte-Philomène-de-Fortierville'
- ↑ a et b Banque de noms de lieux du Québec, entrée Saint-Flavien
- ↑ Banque de noms de lieux du Québec, entrée Parisville
- ↑ Banque de noms de lieux du Québec, entrée Saint-Janvier-de-Joly
- ↑ Banque de noms de lieux du Québec, entrée Saint-Narcisse-de-Beaurivage
- ↑ Banque de noms de lieux du Québec, entrée Dosquet
- ↑ a et b Banque de noms de lieux du Québec, entrée Saint-Patrice-de-Beaurivage
- ↑ a et b Banque de noms de lieux du Québec, entrée Saint-Flavien
- ↑ Acte des municipalites et des chemins de 1855, page 129