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L'intercommunalité a été créée par un arrêté préfectoral du [1] et succédait à un SIVOM.
Territoire communautaire
Géographie
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Le territoire intercommunal est situé à 20 minutes de Compiègne et à 45 minutes de l'aéroport Paris-Charles-de-Gaulle, et est desservi par de grands axes routiers (A1, RN31, ex-RN 17 - actuelle RD1017) et une voie verte de 15 km. Quatre gares desservent le territoire : deux sur la ligne Compiègne-Amiens et 2 sur la ligne Compiègne-Paris.
Il est caractérisé par la présence de nombreuses entreprises et notamment de la plateforme logistique multimodale de Longueuil-Sainte-Marie, favorisant l’emploi sur place de la population active.
Composition
La communauté de communes est composée des 19 communes suivantes :
Évolution démographique du territoire communautaire tel qu'existant au
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
10 251
11 555
13 280
14 914
15 843
16 266
16 772
17 728
Nombre retenu à partir de 1968 : population sans doubles comptes. Les données mentionnées ci-dessus sont établies à périmètre géographique constant, dans la géographie en vigueur au . (Source : INSEE RGP 2016[2])
La communauté de communes est administrée par son conseil communautaire, composé de 40 membres répartis de ma manière suivante[3] :
- 7 délégués pour Estrées-Saint-Denis ;
- 3 délégués pour Chevrières, Grandfresnoy, Longueil-Sainte-Marie et Rémy ;
- 2 délégués pour Arsy, Bailleul-le-Soc, Canly, Francières, Houdancourt, Moyvillers et Rivecourt ;
- 1 délégué ou son suppléant pour les autres communes, toutes de moins de 500 habitants.
Développement économique : soutien, accompagnement et développement du commerce, de l'artisanat et des activités de service, politique locale du commerce, promotion du territoire pour l'accueil d'entreprises nouvelles, zones d'activité, développement touristique, taxe de séjour ;
Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations (GEMAPI) : aménagement d'un bassin ou d'une fraction de bassin hydrographique, entretien et aménagement d'un cours d'eau, canal, lac ou plan d'eau y compris leur accès, défense contre les inondations, Protection et restauration des sites, écosystèmes aquatiques et des zones humides ainsi que des formations boisées ;
Voirie d'intérêt communautaire, entretien groupé de la voirie communale ;
Équipements culturels et sportifs d'intérêt communautaire ;
Action sociale d'intérêt communautaire, notamment en ce qui concerne la petite enfance ;
Transports et infrastructures ; Mobilités : opérations contribuant à l'amélioration des transports publics et privés à l'échelle communautaire ou inter-territoires, pistes cyclables d'intérêt communautaire, Plan de mobilité rurale, « actions permettant de répondre aux besoins croissants de mobilité liés à l'accès aux zones économiques et logistiques, de structurer le territoire et améliorer son attractivité et son accessibilité, de développer des offres nouvelles en matière de mobilité pour répondre aux enjeux liés au développement durable et notamment la mise en avant des modes actifs, de proposer une alternative pertinente à l'usage prédominant de la voiture individuelle et optimiser son utilisation (covoiturage) » ;
Groupement de commandes ;
Communication et promotion ;
Transports scolaires des élèves scolarisés dans les écoles maternelles et primaires vers la piscine, dans le cadre de l'apprentissage de la nation ;
Afin de financer l'exercice de ses compétences, l'intercommunalité perçoit la fiscalité professionnelle unique[1] (FPU) – qui a succédé à la taxe professionnelle unique (TPU) – et assure une péréquation de ressources entre les communes résidentielles et celles dotées de zones d'activité.
Elle ne verse pas de dotation de solidarité communautaire[11] (DSC) à ses communes membres[1].
Projets et réalisations
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Développement économique
La CCPE dispose de plusieurs zones d'activité. Afin de répondre plus aisément aux demandes d'implantations d'entreprises, elle étend en 2019/2020 de 7 ha la zone d'activités de la Sècherie, à Moyvillers[12].
Transports et déplacements
La CCPE a adopté son plan de mobilité rural fin 2017, visant notamment à favoriser la pratique du vélo sur son territoire. Dans ce cadre, la communauté met en place en 2020 un service de location de vélos à assistance électrique de longue durée d'au moins 3 mois et à la demande, dans un premier temps près de la gare de Longueil-Sainte-Marie, dans la zone d'activités du Port-Salut et à proximité de la gare d'Estrées-Saint-Denis[13]. Elle a également conventionné fin 2019 pour trois ans avec Rezo Pouce, société coopérative d’intérêt collectif, afin de mettre en place un service d'auto-stop sécurisé et gratuit pour ses usagers, moyennant une réservation informatisée entre le conducteur bénévole et le bénéficiaire[14].
↑« Arrêté préfectoral portant composition du conseil communautaire de la Communauté de communes de la Plaine d'Estrées corrélative au renouvellement général des conseils municipaux de 2020 », Recueil des actes administratifs de la préfecture de l'Oise, no 11, , p. 9-10 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
↑« Vos élus », La CCPE, sur ccplaine-estrees.com, (consulté le ).
↑« Marcel Fouet (UMP) ne repart pas à Chevrières », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Stanislas Barthélémy démissionne de la présidence de la Plaine d’Estrées », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Stanislas Barthélémy : « Je vais devoir laver mon honneur » : Trois mois après sa démission de la communauté de communes de la Plaine d’Estrées, Stanislas Barthélémy fait le point », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑LP, « Estrées-Saint-Denis : la communauté de communes change de président : Stanislas Barthélémy a décidé de quitter ses fonctions. Il est remplacé par Sophie Mercier », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le )« On ne s'entendait pas avec la directrice des services, l'un de nous devait partir », tranche Stanislas Barthélémy, maire (LREM) de Longueil-Sainte-Marie et ex-président de la communauté de communes de la Plaine d'Estrées (CCPE). Et c'est donc ce dernier qui a présenté sa démission, acceptée par le préfet de l'Oise le 22 mai. Sophie Mercier, maire (SE) de Rémy, a été élue pour lui succéder ».
↑« Sophie Mercier élue à la tête de la Communauté de communes de la Plaine d’Estrées », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑Cindy Belhomme, « A Moyvillers, la zone d’activités va s’étendre : Pour répondre aux demandes d’entreprises, la communauté de communes de la Plaine d’Estrées va aménager un site de 7 ha, près d’Intermarché », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
↑Cindy Belhomme, « La Plaine d’Estrées veut développer la pratique du vélo : La collectivité déploie son plan de mobilité rurale, adopté fin 2017 », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
↑Orianne Maerten, « Le stop en milieu rural s’étend dans l’Oise : La Communauté de communes de la Plaine d’Estrées a signé une convention pour mettre en place Rezo Pouce. Une solution de transport participatif, qui s’adresse aux personnes isolées et sans voiture », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
« Statuts de la communauté de communes de la Plaine d'Estrée, annexés à l'arrêté préfectoral du 27 décembre 2018 », Recueil des actes administratifs de la préfecture de l'Oise, , p. 46-52 (lire en ligne [PDF], consulté le ).