Cancéropôle Grand Sud-OuestCancéropôle Grand Sud-Ouest
Dans le cadre des Plans Cancer[1], [2] de lutte contre les cancers, sept Cancéropôles[3] labellisés par l'Institut National du Cancer (Inca) ont été créés en France métropolitaine. Chacun est un réseau qui associe, dans un cadre géographique inter-régional, les unités de recherche des organismes (INSERM, CNRS, Universités...), les services hospitaliers, ainsi que des acteurs de l'industrie pharmaceutique et des biotechnologies. Le rôle initial principal de ces cancéropôles inter-régionaux est l’organisation des soins sur leur zone respective, sous l'égide de l'Inca[4]. PrésentationLe cancéropôle Grand Sud-Ouest (GSO) fédère[5] autour de projets collaboratifs près de 500 équipes de chercheurs et de cliniciens de Bordeaux, Limoges, Montpellier, Nîmes et Toulouse. Le cancéropôle GSO a pour objectif de contribuer à mutualiser expertises et savoir-faire, pour susciter et renforcer les projets de recherche, accélérer l'innovation thérapeutique et son transfert au bénéfice du malade. MembresLe cancéropôle GSO a été constitué en Groupement d'intérêt public (GIP) en août 2007, comprenant 28 membres dans le périmètre des régions Aquitaine, Midi-Pyrénées, Languedoc-Roussillon et Limousin d'alors : quatre régions / conseils régionaux ; neuf établissements de recherche-enseignement (sept universités plus INSERM et CNRS) ; huit établissements de soins dont cinq centres hospitaliers universitaires (CHU) ; sept entreprises industrielles du secteur pharmaceutique. Un arrêté, pris le , a approuvé "la convention constitutive du GIP" « Cancéropôle Grand Sud-Ouest (Cancéropôle GSO) »[6]. Depuis, les régions Aquitaine et Limousin ont fusionné avec Poitou-Charentes en une région Nouvelle-Aquitaine, et les régions Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon en une région Occitanie[7]. Après la fusion de ces régions françaises ayant pris effet au , un deuxième arrêté pris le a approuvé "la convention constitutive modificative du GIP" « Cancéropôle Grand Sud-Ouest (Cancéropôle GSO) »[8] et actualisé la liste des membres : Les collectivités territoriales
Les établissements de recherche-enseignement « recherche »
Les établissements de soins « clinique »
Autres acteursL'université de Poitiers (membre à l'origine de la cancéropôle Grand Ouest) n'est pas nommée. Concernant la Ligue nationale contre le cancer, ses bénévoles de 18 comités départementaux du Grand Ouest (ancienne région Poitou-Charentes, région Bretagne, régions Pays de la Loire et Centre-Val de Loire) travaillent ensemble. Le comité départemental Charente de la Ligue nationale contre le cancer a, en et , financé les actions du cancéropôle Grand Ouest[10]. Les entreprises du secteur privéSont citées[N 1], dans l'ordre : Sanofi-Aventis France ; Pierre Fabre SA ; Merck Santé[N 2] ; Amgen SAS ; Institut Roche ; Bristol-Myers Squibb ; Pfizer Missions
ÉvaluationDans le cadre du plan Cancer 2009-2013, le cancéropôle Grand Sud-Ouest a été de nouveau évalué[11], comme les six autres cancéropôles, par l'Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur (AÉRES). Ceci a abouti en à sa labellisation[5] pour trois nouvelles années. À la suite de la loi relative à l'enseignement supérieur et à la recherche du , une nouvelle Autorité administrative indépendante en France, le Haut Conseil de l'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur (Hcéres), a remplacé l'AÉRES depuis 2014, mais le site internet AÉRES d'origine a disparu semble-t-il. Le rapport, publié en 2011, sur l'évaluation (2010-2011) du Cancéropôle Grand Sud-Ouest (GSO) reste disponible[12] sur le site du Hcéres. Notes et référencesNotes
Références
Voir aussiArticles connexesLien externe |
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