Céline Gailleurd étudie le cinéma. En 2011, elle soutient une thèse intitulée Survivances de la peinture du XIXe siècle dans le cinéma italien des années 1910[1].
En 2014, elle s'associe une nouvelle fois avec Olivier Bohler et co-réalise un documentaire intitulé Edgar Morin, chronique d'un regard. « Accompagnant Edgar Morin en France et en Allemagne, dans les lieux les plus évocateurs de son rapport à l’image et à l’anthropologie, ce documentaire révèle la place que le cinéma occupe dans sa pensée »[3], écrit Suzanne Liandrat-Guigues dans une critique, en 2014.
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« Moi, si on m'ouvre, on trouvera des plages », in Antony Fiant, Roxane Hamery, Éric Thouvenel, Agnès Varda : le cinéma et au-delà, Presses universitaires de Rennes, 2009, p. 199-207 [lire en ligne]
Notes et références
↑Gailleurd, Céline, « Survivances de la peinture du XIXe siècle dans le cinéma italien des années 1910 : la peinture aux origines du cinéma ? », http://www.theses.fr/, (lire en ligne, consulté le )