Sur la commune se trouve le deuxième plus grand musée militaire de Belgique[1], le Gunfire.
Des années importantes
1251 - La première fois que « De Mick » est utilisé dans un document officiel.
1269 - La première fois que « Breesgata » est utilisé dans un document officiel.
1619 - À la suite d'une épidémie, Brasschaat ne compte plus que 29 familles.
1823 - Brasschaat ne fait plus partie d'Ekeren et devient une commune autonome.
1912 - Inauguration du Fort van Brasschaat, qui s'intègre à la zone de fortifications couvrant le port d'Anvers.
Le 1er mai 1911 ouvre le premier aérodrome militaire de Belgique, sur un site utilisé depuis 1887 par le Génie militaire pour l'utilisation de ballons d'observation.
2004 - Ouverture du Musée de l'artillerie, le Gunfire, qui regroupe des centaines d'objets et pièces d'artillerie couvrant une période qui va de 1830 à aujourd'hui.
La commune possède des armoiries qui lui ont été octroyées le 21 juin 1913. Les croix dans les armoiries proviennent des armoiries des seigneurs de Breda du XIIIe siècle, de la famille Schooten. Brasschaat a toujours appartenu à Ekeren, propriété des seigneurs de Breda jusqu'au XVIe siècle. Au XVIe siècle, ce sont les princes de Salm-Salm qui leur succèdent. Ils deux saumons dans leurs armoiries. Le saumon dans la moitié inférieure des armoiries provient de leurs armoiries. À leur tour, la famille Lalaing succéda aux princes. Les deux diamants proviennent des armoiries de cette famille.
Le support est Saint Antoine, saint patron du village.
Blasonnement :De gueules, un saumon argenté, redressé, accompagné dans le chef de deux diamants identiques, le tout entouré de huit croix de Saint-André également en argent; le bouclier à gauche par un saint Antoine aux pieds de la rédemption, et de même à gauche, un cochon chronométré, tout d'argent. (Traduction libre)