La devise de la localité serait Balerium Semper Vivens (« Baulers Vivra Toujours »).[réf. souhaitée]
Toponymie
Du mauvais (germanique *balwa) larris (germanique *hlœri)[2],[3].
Formes anciennes :
877 : Ballarum ;
1059 : Bollaria.
Démographie
Sources:INS, Rem:1831 jusqu'en 1970=recensements, 1976= nombre d'habitants au 31 décembre
Histoire
Une partie de la seigneurie de Rognon fusionna avec Baulers sous le régime français.
De 1971 à 1981, le circuit automobile de Baulers a accueilli diverses compétitions de sports mécaniques. Définitivement fermé en 1981, le circuit est resté une dizaine d'années à l'abandon avant d'être en grande partie détruit pour céder la place à une zone industrielle[4].
Fêtes
Le ton de cet article est trop promotionnel ou publicitaire ().
Jean Ransy (1910-1991) : artiste peintre surréaliste et oniriste né à Baulers.
Constantin-Eugène de Burlet (1846-1925) : bourgmestre de Baulers et chef d'entreprise ferroviaire en Belgique et à l'étranger.
Notes et références
↑Jean Germain, Les Noms officiels des communes de Wallonie, de Bruxelles-Capitale et de la Communauté germanophone : Évolution et fixation orthographique des toponymes majeures de 1795 à nos jours avec indication de la prononciation française (API), de la forme régionale wallonne et du gentilé, Louvain-Paris, Peeters, coll. « Mémoires de la Commission royale de toponymie et de dialectologie. Section wallonne » (no 27), , 410 p. (ISBN978-9-042944-01-5), p. 53.
↑(nl) Maurits Gysseling, Toponymisch Woordenboek van België, Nederland, Luxemburg, Noord-Frankrijk en West-Duitsland (vóór 1226), Tongres, Belgisch Interuniversitair Centrum voor Neerlandistiek, (lire en ligne)
↑Jules Herbillon, Les noms des communes de Wallonie, Bruxelles, Crédit communal, coll. « Histoire » (no 70),