Très jeune, André Stempfel s’initie à la peinture auprès d’une académie lyonnaise dirigée par un disciple d’Albert Gleizes.
En 1958, il arrive à Paris et fréquente l’Académie de la Grande Chaumière où il élabore lentement, en un cheminement solitaire, un style personnel.
Les formes se simplifient, les couleurs se raréfient pour aboutir aujourd’hui à un jaune unique.
Depuis 1970, date à laquelle un incendie détruit complètement son atelier, une partie de son activité s’oriente vers des commandes publiques et des installations dans des espaces urbains.
De 1980 à 1997 il participe au groupe MADI dont il devient vice président.
Son œuvre se situe entre art construit et art concret. Cette œuvre s'est exprimée à la fois en peinture, en sculpture en installations et dans la réalisation monumentales dans l'architecture.
Expositions personnelles et collectives
1980 à 1985 : Stempfel présente des installations de grande envergure au salon de la « jeune sculpture » ainsi qu’au centre culturel de Brétigny et au C.N.A.P. à Paris.
1982 - Eléments colorés en fer émaillés1982 : Réception des œuvres pour le collège Georges Brassens à Pont Evêque[2]
1989 : Présentation au musée de Villeurbanne d’une grande œuvre « morceau choisi » (collection du F.N.A.C.)
1992 : Présentation dans le hall de la D.A.P. avenue de l’Opéra de : « ligne hors texte » (collection du F.N.A.C.)
1997 : Plusieurs expositions en Espagne : Galerie Charpa à Valencia – Museo Nacional Reina Sophia à Madrid - Musée de Badajoz
1998 : Stempfel est présenté dans plusieurs galeries japonaises à Osaka, Nichinomiya, Fukuoka