Elle assure la rédaction du mensuel « Tous »[5], journal de son entreprise[3].
Parcours littéraire
Elle publie en 1971, son œuvre majeure, Saisons, suite de poèmes en prose. Sa dernière œuvre anthume, Le sac à puces, « des nouvelles au ton ironique et tendre »[2], paraît en 1991.
Après sa mort, l'écrivain Bernadette Richard, qui était très proche d'Alice Heinzelmann[2], sélectionne une centaine de ses nouvelles inédites, compilées dans Au jardin de Line paru en 2015[6].
Mort
Elle meurt le , à l'âge de 74 ans[1], dans une ambulance en chemin vers l'Hôpital de l'Île, à Berne, après avoir été renversée en plein après-midi par un automobiliste en état d'ivresse[6].
Distinctions
1958 : prix Midi Libre de la Compagnie des écrivains méditerranéens[1] et des amis des lettres, dans la section prose[7]
1960 : prix d'honneur du président de la Compagnie des écrivains méditerranéens[1] pour « Routes et pensers »
1965 : grand prix de poésie Louis-Jullian de la ville d'Arles[8], pour ses œuvres en prose[9]