Agullo Éditions[1] est une maison d'édition française créée en 2016 et basée à Villenave-d'Ornon. Elle se spécialise notamment dans les littératures du continent européen.
Présentation
Nadège Agullo, auparavant chez Carlton Books et cofondatrice des éditions Mirobole, fonde les éditions Agullo[2] avec pour associés Sébastien Wespiser[3] (ancien libraire), Estelle Flory[4] (éditrice de littérature étrangère) et Sean Habig[5] (graphiste, brand architect). La maison se propose d'éclairer le continent européen à travers deux collections : Agullo Fiction (littérature générale et fantastique) et Agullo Noir (polars).
Les éditions Agullo se décrivent comme "le porte voix d'auteurs d'ici et d'ailleurs qui expriment et partagent leurs histoires, leur culture, leurs joies, leurs espoirs et par-dessus tout, leur humanité."[6]
Publications
Le Fleuve des brumes (Il fiume delle nebbie), de Valerio Varesi, traduit de l'italien par Sarah Amrani, Agullo Noir, 2016.
Spada (Spada), de Bogdan Teodorescu, traduit du roumain par Jean-Louis Courriol, Agullo Noir, 2016.
La Destinée, la Mort et moi, comment j'ai conjuré le sort (Fated), de S.G. Browne, traduit de l'anglais (États-Unis) par Morgane Saysana, Agullo Fiction, 2016.
L'Installation de la peur (A instalação do medo), de Rui Zink, traduit du portugais par Maïra Muchnik, Agullo Fiction, 2016.
Le Blues de La Harpie (How the Hula Girl Sings), de Joe Meno, traduit de l'anglais (États-Unis) par Morgane Saysana, Agullo Fiction, 2017.
L'Organisation (CЭ-2), de Maria Galina, traduit du russe par Raphaëlle Pache, Agullo Fiction, 2017.
La Pension de la via Saffi (L'affittacamere), de Valerio Varesi, traduit de l'italien par Florence Rigollet, Agullo Noir, 2017.
Bagdad, la grande évasion ! (Escape from Bagdad !), de Saad Z. Hossain, traduit de l'anglais (Bangladesh) par Jean-François Le Ruyet, Agullo Fiction, 2017.
Prémices de la chute, de Frédéric Paulin, Agullo Noir, 2019.
Les mains vides (A mani vuote), de Valerio Varesi, traduit de l'italien par Florence Rigollet, Agullo Noir, 2019.
La Colombienne (Przejęcie), de Wojciech Chmielarz, traduit du polonais par Erik Veaux, Agullo Noir, 2019
Prix littéraires
Prix Libr'à nous 2017, catégorie Imaginaire pour La Destinée, la Mort et moi, comment j'ai conjuré le sort, de S.G. Browne, traduit par Morgane Saysana[7].