De nombreux vestiges ont en effet été découverts à proximité de Tourtour, à Arquinaud, et appartiennent au Néolithique. Cinq oppidums et un poste de vigie situés dans la vallée de Florieye attestent une présence humaine durant l'âge du fer[13].
Selon le service régional de l'inventaire, l'abbaye aurait peut-être été fondée sur le territoire d'Arquinaut. Au XIXe siècle, la chapelle Notre-Dame-de-Florièye était parfois appelée « Notre Dame d'Arquinaut » , peut-être en référence au site situé sur la colline de calamantran au sein du Domaine des Treilles[14],[15],[16].
À la suite d'une demande de protection au titre des monuments historiques de l'ancienne abbaye de Florièyes formulée le , « la délégation permanente de la commission régionale du patrimoine et des sites (C.R.P.S) du 14 mai 2014 a émis un avis défavorable à la poursuite de la procédure en l'état actuel des connaissances, estimant que l'intérêt historique et architectural de l'ancienne abbaye de Florièyes justifiait au préalable l'entreprise d'une étude archéologique approfondie. La délégation a en revanche souhaité qu'un périmètre de protection archéologique[17] soit institué au plus vite pour une première protection de ce site à l'initiative du service régional de l'archéologie compétent pour la mise en œuvre de ces décisions ».
Une étude de l'archéologie du bâti serait également nécessaire pour identifier précisément les époques des divers vestiges de constructions médiévales subsistant, y compris sur le site d'Arquinaut[18].
Floriège, Florieye, ou encore Florielle est un petit cours d'eau qui se jette dans l'Argens. C'est dans le vallon étroit et pauvre de Florièye que les moines avaient élevé des maisons de bois, avant de dresser les premiers murs de leur abbaye[19].
Selon Edmond F. Barbier, les travaux de débroussaillement, nivellement et repérage des carrières du site de l'abbaye du Thoronet ont commencé peu après la confirmation de 1146 par Raimond-Bérenger II[20]. Ce qui fait dire à Jean Guyou que de 1150 à 1175 le Thoronet ne fut qu'un grand chantier[21].
C'est donc sans doute peu de temps avant 1157[22], que la décision est prise de transférer le siège abbatial à Le Thoronet[23]. La fondation du Thoronet et le début de la construction du premier bâtiment (futur cellier)[24], puis de l'église sont en effet datés entre 1157 et 1160[25]. Leur installation a ainsi pu se réaliser lorsque les premiers bâtiments du Thoronet furent aptes à accueillir la communauté. L'achèvement de la construction se situe vers 1176.
Les raisons en sont toujours obscures. L'abbaye se situant sur la route menant à la Commanderie du Ruou, une hypothèse est que les moines préférèrent s'éloigner de ses zones d'influence. Or
cette piste de réflexion ne semble pas être étayée puisque la commanderie et le monastère disposaient l'un et l'autre de propriétés très étendues, et qu'aucun incident n'a été relevé. Et l'on sait par ailleurs avec certitude que l'abbaye a conservé ses propriétés jusqu'à la Révolution. En effet, selon un procès-verbal de visite établi par l'architecte Laurens Vallon le [26], Notre-Dame-de-Florièyes serait encore occupée par des religieux. Florièyes a par ailleurs gardé l'intégrité de son domaine (avec ses 127 hectares) jusqu'à sa vente comme bien national en 1789[27] à un fermier.
D'autres historiens estiment plutôt que ce serait parce que ce lieu aride et venteux était inadapté au système agraire cistercien[28].
Les lieux ne seront d'ailleurs pas complètement délaissés puisqu'ils devinrent un prieuré, et les abbés du Thoronet prirent l'habitude d'aller se recueillir dans la chapelle de Notre-Dame de Florielle lors de leur intronisation ; il leur fallait six bonnes heures pour s'y rendre[29].
Les vestiges de l'ancienne abbaye appartiennent à la SCI agricole du Domaine de Florielles[30].
Plan général du site avec désignation des éléments patrimoniaux.
La chapelle de l'abbaye Notre-Dame de Florièyes.
Site d'Arquinaut : restes constructions médiévales.
La Florièye, appelée aussi Florielle, Florièges...
La voie dite « romaine » qui longe l'ancienne abbaye
Non loin de la Via Julia Augusta[31], les Romains construisirent de nombreux établissements de plaine au quartier Saint-Pierre, à l'Evoue, aux Treilles, au Colombier. Leur présence est attestée jusqu'au Ve siècle ap. J.-C., époque des invasions barbares[32],[33].
« À l'époque romaine, le bassin de la Nartuby était traversé par la voie de Forum Voconii à Riez, qui reliait Fréjus et la région côtière à la zone des Plans. En un point incertain de cette valle se trouvait la mutatio d'Antea. Cette zone de contact comportait-elle un carrefour de voies secondaires auxquelles ont probablement succédé des chemins médiévaux comme celui qui mène à Tourtour et au castrum d'Arquinaut[34]. »
À trois kilomètres du village de Flayosc, près de la chapelle Saint-Pierre de Lavenon[35],[36],[37], de nombreux vestiges gallo-romains ont été découverts (lampes, vases, monnaies, briques…), ainsi qu'une inscription funéraire (cippe funéraire) en hommage à Caius Julius que l'on peut admirer dans le hall de la mairie de Flayosc[38],[39].
Les vestiges de l'ancienne abbaye
Sur ce site, subsistent quelques ruines et une chapelle. Concernant la chapelle, seule l'abside est d'origine (XIIe siècle) et la nef a été reconstruite plus récemment au moins dans la partie supérieure. La partie d'origine de l'ancien couvent est en grande partie conservée.
Certains murs de la bergerie du XIIe siècle, et des écuries et cochonniers du XVIIIe siècle sont en partie conservés.
La bastide qui jouxte la chapelle Sainte-Marie a, elle, été bâtie vers 1792-1793. Cette partie de construction a d'ailleurs été habitée jusque dans les années 1950. La dégradation et le vandalisme ont malheureusement accéléré sa perte.
Le pontmédiéval (et non pas romain)[40], parfaitement conservé, sauf le Tablier (pont) plus récent, date de la fin du XIIIe siècle. Il enjambe la Florieye qui se jette dans l'Argens.
Les abbés et prieurs de Floriège
Rappelant que les abbés du Thoronet ont toujours été intronisés à l'abbaye mère de Sainte-Marie de Florièyes. Les différents auteurs s'accordent au moins sur quelques noms d'abbés du Moyen Âge[41] :
Paulin[42], premier abbé de Floriège en 1136[43] ;
Jean, abbé de Floriège en 1149 ;
Pons, abbé de Floriège, dont on retrouve son nom dans la Confirmation de la donation de l'église Saint-Pierre-de-Beaumont en 1157,
Jourdan, seigneur de Vidauban, était moine à l'abbaye de Florièyes en 1218[44] ;
Jean de Pontevès est prieur de Notre-Dame de Florièyes en 1439[45].
Voir aussi : la liste des abbés de l'abbaye du Thoronet, appelés fréquemment « abbés de Florieyes ».
Les inhumations à l'abbaye de Floriège
On dispose de peu d'informations vérifiables concernant les inhumations.
Ce que l'on sait concernant l'abbaye du Thoronet c'est que, comme à Mazan, il n'y a pas de portail monumental, juste deux portes, simplement couvertes d'un arc en plein cintre. Celle du nord était réservée aux frères convers. Celle du sud était la « Porte des Morts » : les moines défunts étaient sortis par cette porte après la messe pour être portés au cimetière derrière le chevet, où ils étaient enterrés en pleine terre. Le long du mur sud, on peut observer un dépositoire, qui recevait les corps avant leur inhumation.
Dans les sites d'Arquinaut et de Florielle, des recherches font état de la découverte de tombes gallo-romaines et de tombes à inhumation sous tuiles[46].
Une tombe en bâtière de type nécropole paléochrétienne des Ve/VIe siècles est visible au niveau du chevet de la chapelle de Florièyes. Découverte au début du XXe siècle, elle a été également signalée par Guy Désirat[47].
La présence d'ermites, qui ont été les gardiens des lieux, ne semble pas avoir laissé de traces[48] ?
Deux inhumations semblent cependant pouvoir être attestées par les chercheurs[49] :
un des premiers moines de Floriège, Guilhem, dont les cendres ont été transférées au Thoronet puis à l'église de Lorgues.
Procession solennelle à l'abbaye de Notre-Dame de Floriège
Un des avant-bras de Guilheim, conservé à Tourtour, faisait l'objet d'une procession le dimanche le plus rapproché du . Une lettre du curé de Lorgues, le , à l'évêque de Fréjus, conservée aux archives paroissiale de Lorgues (voir Liste des évêques de Fréjus et Toulon), signale la présence dans la chapelle détruite de Notre-Dame-de-Florièyes à Lorgues d'une relique du saint[50].
Par ailleurs la présence d'une petite croix et d'une date ()[51] sur une pierre gravée située sur la voie romaine longeant l'ancienne abbaye Notre-Dame de Florièyes et sur son lien avec un pèlerinage, a conduit Mariette Brest guide conférencière à l'Office de tourisme de Tourtour[52] à consulter la direction départementale des archives du Var[53] quant à un éventuel rapport de cette date avec une visite pastorale de l'évêque de Fréjus. En réponse Alain Droguet, Directeur des Archives Départementales du Var[54], nuance l'information avancée par Nicole et André Cabau[55] qui n'apparaît pas dans le procès-verbal de la visite pastorale de 1743 (cote 1 G 72). En effet les auteurs indiquent que, selon les périodes, une ou deux fois par an, une procession solennelle avait lieu à Notre-Dame de La Floriège. Lors de la visite pastorale du , l'évêque fixe plusieurs processions et notamment l'une le dimanche suivant le et le . Si l'on se réfère à un calendrier perpétuel, le correspond à un dimanche. Elles perdurèrent jusqu'à la Révolution.
↑Paul Audibert, Le Thoronet en son temps, Draguignan, Imprimerie Riccobono, , 124 p., p. 20-21.
2e édition revue et augmentée, L'abbaye cistercienne de Mazan ayant été touchée par la vocation maternelle, parvint à établir trois filiales qui furent par ordre de dates : Florièye (1136), Silvacane (1147) et Sénanque (1148)
↑Guy Désirat, Tourtour, Monographie et Vie quotidienne, Nice, Serre Éditeur, Collection Les régionales, , 335 p. (ISBN2-86410-269-2, ISSN0248-353X), p. 187-192.
Archéologie, VII-Le castrum d'Arquinaud - Sainte Croix (L'origine toponymique, Historique, Les recherches archéologiques)
↑Guy Désirat « regrettait qu'aucune fouille archéologique n'ait été entreprise sur le site de Florièyes, celles-ci pouvant apporter les éléments qui font défaut », in Tourtour, Monographie et Vie quotidienne, p. 234 L'abbaye cistercienne Sainte-Marie-de-Florièyes.
↑Raymond Boyer et Guy Desirat, Un habitat médiéval inédit : Arquinaut (commune de Tourtour, Var). Travaux d'approche, Fédération historique de Provence, (lire en ligne [PDF])
↑Le Thoronet, naissance, vie, déclin et résurrection d'une abbaye, juin 2005.
↑Yves Esquieu, Vanessa Eggert et Jacques Mansuy, Le Thoronet, Une abbaye cistercienne, Paris, Cité de l'architecture et du patrimoine / MMF / Acte Sud, , 79 p. (ISBN978-2-7427-6331-3), p. 14
L'implantation de Notre-dame de Florielle était le premier et tardif jalon de l'implantation cistercienne en Provence. Ouvrage accompagné d'un DVD Coédition Cité de l'architecture et du patrimoine / Aristeas / Actes Sud.
↑cf. Etat des bâtiments de l'abbaye de Florièyes le 10 février 1699 (Source : Guy Désirat, Tourtour, Monographie et Vie quotidienne, Nice, Serre Éditeur, Collection Les régionales, , 335 p. (ISBN2-86410-269-2, ISSN0248-353X), p. 237-238
↑Docteur J-E. Émile Laffont, Les cisterciens du Thoronet, Cannes, Éditions de l'Auteur, , 62 p.
page 12 : Cette coutume paraît s'être conservée et avoir été observée par les 43 prieurs titulaires connus qui se sont succédé, de la fondation à l'an 1698.
↑Edmond F. Barbier, L'abbaye cistercienne du Thoronet au Moyen-Âge. Son origine, son territoire, ses possessions, Saint-Rémy-de-Provence, Mémoires du Sud Équinoxe, , 358 p. (ISBN2908209 91-8, ISSN1159-5817), p. 259-264, 272-273
Préface d'Élisabeth Sauze, Archiviste-paléographe, Conservateur en chef du patrimoine de la région Provence-Alpes-Côte d'azur; Les abbés du Thoronet au Moyen-Âge.
↑Guy Désirat, Tourtour, Monographie et Vie quotidienne, Nice, Serre Éditeur, Collection Les régionales, , 335 p. (ISBN2-86410-269-2, ISSN0248-353X), p. 246-247
↑Le , l'ermite s'appelle Honoré Sisteron, la commune lui donne 5 livres (note 615, A.T.C.C.38); Le , à l'occasion de la procession, 5 sols sont donnés à l'ermite qui servait de gardien (Tourtour, Monographie et vie quotidienne par Guy Désirat, note 616, A.C.T..C.C.28) (Tourtour, Monographie et vie quotidienne par Guy Désirat, pp. 237 et 259.
↑Edmond F. Barbier, L'abbaye cistercienne du Thoronet au Moyen-Âge. Son origine, son territoire, ses possessions, Saint-Rémy-de-Provence, Mémoires du Sud Équinoxe, , 358 p. (ISBN2908209 91-8, ISSN1159-5817), p. 64-281 à 283-268
↑Guy Désirat fait état et fournit une photo de cette inscriptionrupestre dans son ouvrage Tourtour : Monographie et vie quotidienne, Archéologie, I-Localisation des sites archéologiques, p185
↑Recherche sur la date d'un pèlerinage à Notre-Dame de Florièyes, Alain Droguet, Directeur des Archives départementales du Var, information fournie le à l'Office de tourisme de Tourtour.
↑(BIB 20683) André et Nicole Cabau, Tourtour, Chroniques d'un village du Haut Var, Nice, Collection Les Régionales - Éditions Serre, 335 p. (ISBN2-86410-125-4), p. 175 et 188
Guy Désirat, Tourtour, Monographie et Vie quotidienne, Nice, Serre Éditeur, Collection Les régionales, , 335 p. (ISBN2-86410-269-2, ISSN0248-353X)
Archéologie, VII-Le castrum d'Arquinaud - Sainte Croix, pp. 187-192 (L'origine toponymique; Historique; Les recherches archéologiques);
Histoire religieuse. I - L'abbaye cistercienne Sainte-Marie-de-Florièyes (Situation géographique; Les origines toponymiques; Aspect du terroir; L'origine historique; Le temporel de l'abbaye de Florièyes; Le Transfert de Florièyes au Thoronet; Présence des moines à Florièyes après la fondation du Thoronet; État des éléments de l'abbaye de Florièyes le 10 février 1699; Bail à ferme général passé le 6 février 1770; Le terroir de l'abbaye Sainte-Marie de Florièyes; Expertise des biens de l'abbaye en 1789; L'arpentage; Les causes probables du départ des Cisterciens de leur abbaye Saint-Marie de Florièyes; Quelques abbés commendataires de l'abbaye royale du Thoronet; Suppression du titre de l'abbaye du Thoronet et son union à l'évêché de Dignes; Les bâtiments actuels de Saint-Marie de Florièyes; Règles concernant la construction des abbayes cisterciennes; Les faits divers; Les abbés de Saint-Marie de Florièyes; Ventes successives du domaine de l'abbaye de Florièyes; Annexe 1 : Erreurs relevées concernant l'abbaye de Florièyes chez divers auteurs; Charte n°XLVIII du Cartulaire de Lérins; II - L'Ordre du Temple, pp. 234 à 255
André et Nicole Cabau, Tourtour, Chroniques d'un village du Haut Var, Nice, Collection Les Régionales - Éditions Serre, 335 p. (ISBN2-86410-125-4), p. 187-189
Mireille Maurel *, Bulletin de la Société des Amis du Vieux Toulon, Société des Amis du Vieux Toulon, 23 p.
Extrait du Bulletin n°94 de la Société des Amis du Vieux Toulon. 2 illustrations à pleine page : Croquis sommaire de Florièyes et carte donnant les emplacements de l'abbaye du Thoronet et de l'abbaye de Florielle. Abbayes cisterciennes
Edmond F. Barbier, L'abbaye cistercienne du Thoronet au Moyen-Âge. Son origine, son territoire, ses possessions, Saint-Rémy-de-Provence, Mémoires du Sud Équinoxe, , 358 p. (ISBN2908209 91-8, ISSN1159-5817)
Préface d'Elisabeth Sauze, Archiviste-paléographe, Conservateur en chef du patrimoine de la région Provence-Alpes-Côte d'azur; *p 38 Implantation à Floriege, Les cisterciens à Floriège; *p 43 à 51 Les cisterciens au Thoronet; *p 59-60-61-62 Gîte Etape transhumance; *p 64 Inhumation à Florieye; *p 100-101-102-103 L'activité pastorale; *p 182 à 185 Floriège ou Florielle ou Florièye; *p 259 Abbés du Thoronet; *p 267 Moines, convers et novices; *p 268 Guihlem inhumation à Lorgues; *p 271 Confirmation des biens des cisterciens de Floriège; *p 281 à 283 STAPA se donne à l'abbaye. Il sera inhumé à Floriège; *p 345 Noms de lieux : Floriège; *p 38 Seigneurie de Séguemangne; *P 316 Chapelles du Var pat Guy Desirat; *p 320 Plans du Thoronet; *p 64-235-281 à 283
Raoul Bérenguier, L'abbaye cistercienne du Thoronet, Bibliothèque de l'Institut historique de Provence, , 49 p.
Ouvrage couronné par l'Académie du Var : Collection de textes et d'études sur la Provence et les pays limitrophes. Voir la notice sommaire des documents provenant de l'abbaye du Thoronet et conservés aux archives départementales du Var en fin d'ouvrage
Archives de l'Administration antérieures à 1790 : archives déposées aux A.D. (Draguignan) : Seigneurie des Blacas, puis divers co-seigneurs dont familles Raphelis et Fabry au XVIIe ; biens ecclésiastiques nombreux dont possessions de Saint-Victor; église Saint-Denis et abbaye de Notre-Dame-de-Florielle (vestiges de la première communauté cistercienne fondée en 1136 par des moines venus de l'abbaye de Mazan, en Ardèche, puis déplacée en 1146 au Thoronet)
Archives de l'Administration postérieures à 1790 : archives contemporaines consultables en mairie; (pièces sur le hameau de Saint-Pierre-de-Tourtour, crée en 1965)
Les index : Index lieux sujet des documents : Draguignan ; Notre-Dame-de-Florielle (abbaye de), voir Tourtour et Thoronet (Le) ; Saint-Pierre-de-Tourtour, voir Tourtour ; Saint-Victor, abbaye de ; Thoronet (abbaye du), voir Thoronet (Le) ; Tourtour