8 janvier : des traces d'amphétamines sont trouvées dans le sang de Stefan Schumacher lors d'un contrôle sanguin réalisé après un accident de circulation le [1]. Il ne fera cependant pas l'objet de poursuite disciplinaires, car il s'agirait d'une consommation d'amphétamines en dehors des périodes de compétition.
14 janvier : après avoir annoncé son intention d'entendre les coureurs, médecins et dirigeants sportifs impliqués dans l'affaire Puerto, le Comité national olympique italien (CONI), par la voix de son procureur antidopage Ettore Torri, évoque l'éventualité d'une interdiction de courir en Italie pour les coureurs dont les responsabilités seraient établies[4].
18 janvier : le quotidien sportif italien La Gazzetta dello Sport annonce le retour du sprinter Mario Cipollini à la compétition, après près de trois ans d'inactivité, au sein de l'équipe continentale américaine Rock Racing[5].
28 janvier : l'ancien vice-champion de monde de cyclo-cross Tom Vannoppen, qui a avoué avoir consommé de la cocaïne, est exclu de l'équipe AVB[9].
29 janvier : la course allemande Rund um die Hainleite disparaît du calendrier de l'UCI Europe Tour pour devenir la dernière étape du Tour de Thuringe, épreuve réservée aux coureurs de moins de 23 ans[10].
30 janvier : l'édition 2008 de Drei-Länder-Tour est annulée en raison du retrait du principal sponsor Sparkassen Versicherung[11]. Il s'agit de la quatrième course professionnelle allemande à subir ce sort en 2008.
16 février : La première édition du Tour de la province de Grosseto est perturbée durant sa deuxième étape par une grève des coureurs protestant contre la dangerosité de la fin du parcours[20].
L'ancien coureur allemand médaillé de bronze du kilomètre des Jeux olympiques de Séoul en 1988 Robert Lechner avoue avoir eu recours au dopage durant sa carrière[22].
Malgré les pressions de l'UCI, les équipes décident de participer à Paris-Nice[23].
Le Comité olympique italien requiert deux ans de suspension à l'encontre de Danilo Di Luca pour un contrôle antidopage positif lors du Tour d'Italie 2007[24].
Lors de la dernière étape de Paris-Nice, les coureurs prennent le départ en retard afin de protester contre le contrôle antidopage subi par le coureur belge Kevin Van Impe alors qu'il était au crématorium[35].
Après un bref retour dans le peloton professionnel sur le Tour de Californie et une vaine tentative de participer à Milan-San Remo, Mario Cipollini achève sa collaboration avec l'équipe Rock Racing[36].
27 mars : l'Agence mondiale antidopage (AMA) décide de se retirer du projet de passeport sanguin de l'UCI, arguant de l'action en justice intentée par la fédération internationale contre Dick Pound, ancien président de l'AMA[40]
1er juillet : la fédération monégasque de cyclisme prononce une suspension de deux ans à l'encontre du DanoisMichael Rasmussen pour avoir manqué plusieurs contrôles antidopage. Cette suspension court à compter du , date de son exclusion du Tour de France[41].
11 juillet : l'Espagnol Manuel Beltrán, coureur de l'équipe italienne Liquigas, est contrôlé positif à l'EPO à l'issue de la première étape du Tour[42] et mis hors-course par son équipe après la 7e étape et le soir. Des perquisitions sont menées dans son hôtel par la police.
Les 17 équipes ProTour présentes au Tour de France annonce qu'elles ne renouvelleront pas leur licence ProTour en 2009.
L'Espagnol Moisés Dueñas est également contrôlé positif à l'EPO à l'issue de l'étape de contre-la-montre disputée à Cholet le . Le coureur de l'équipe Barloworld, premier de son équipe au classement général est mis hors course par son équipe dès l'annonce de ce résultat[43].
Six coureurs amateurs de l'Union sportive lamentinoise, ainsi qu'une septième personnes, sont placées en garde à vue à la suite d'une saisie douanière, deux jours avant le Tour de Guadeloupe auquel ils doivent participer[51].