L'unité est brièvement recréée du au , comme bataillon formant corps du 19e régiment d'infanterie coloniale[1], avec des rescapés du 19e RMIC[5].
Recréé le , il est dissous le . Devenus indépendants, le IIIe bataillon est dissous le et le IIe bataillon le [1].
Insigne
Description héraldique officielle : « ancre coloniale d’or cerclée d’un dragon du même et flanquée du chiffre 19 de part et d’autre de la stangue »[6]. Le dragon symbolise l'Asie du Sud-Est où opère le régiment[1].
L'insigne du régiment est homologué G 1163 le , époque où le régiment a été réduit à deux bataillons indépendants[1].
Raoul Salan, général d'armée, au régiment de 1934 à 1937
Pierre Delsol, compagnon de la Libération, au régiment de 1934 à 1938 et de 1954 à 1956
Joseph Domenget, compagnon de la Libération, au régiment de 1934 à 1938
Angel Villerot, compagnon de la Libération, au régiment de 1934 à 1937
Références
↑ abcde et fHenri Vaudable, Histoire des troupes de marine, à travers leurs insignes: Des origines à la fin de la Deuxième Guerre mondiale, Service historique de l'armée de terre, (ISBN978-2-86323-092-3, lire en ligne), p. 65