Treize ouvrages concernant l’alchimie et le paracelsisme paraissent la même année à Anvers, Paris, Strasbourg, Lyon, Cologne et Zurich, ce qui marque le début de ce qui a été appelé le « renouveau paracelsien[2] ».
Guillaume Plançon rassemble et fait imprimer en un volume à Paris, chez André Wechel et sous le titre d'Universa medica, divers écrits de Jean Fernel (c.-), sur la physiologie, la pathologie et la thérapeutique, ouvrage capital qui sera réédité plus de trente fois[4].
↑Rafaël Roldan y Guerrero, « Précocité de l'organisation sanitaire dans la péninsule ibérique », Revue d'histoire de la pharmacie, vol. 50, nos 173-174, , p. 326-327 (lire en ligne).
↑Didier Kahn, Alchimie et paracelsisme en France à la fin de la Renaissance (1567-1625), Genève, Droz, , 806 p. (ISBN978-2-600-00688-0, lire en ligne), p. 137.
↑(la) Jean Fernel et Guillaume Plançon (éd.), Io[annis] Fernelii Ambiani, Universa medicina, tribus et viginti libris absoluta, ab ipso quidem authore ante obitum diligenter recognita, et quatuor libris nunquam ante editis, ad praxim tamen per quam necessariis aucta, nunc autem studio et diligentia Guil[ielmi] Plantii Cenomani postremum climata, et in librum Therapeutices septimum doctissimis scholiis illustrata, Lutetiae Parisiorum [à Paris], apud Andream Wechelum [chez André Wechel], (lire en ligne).
↑Jacques Grévin, Deux livres des venins, ausquels il est amplement discouru des bestes venimeuses, theriaques, poisons & contrepoisons, par Jacques Grévin de Clermont en Beauvaisis, medecin à Paris, ensemble les œuvres de Nicandre, medecin et poëte grec, traduictes en vers françois, à Anvers, de l'imprimerie de Christofle Plantin, m.d.lxviii [1568] [collophon : m.d.lxvii [1567] au mois d'octobre], 453 p. (lire en ligne sur Gallica).
↑Gérard Nahon, « Exception française et réponse au modèle ibérique : Marie de Médicis et la Déclaration qui expulse les Juifs du royaume de France du », dans Danièle Iancou-Agou (dir.), L'Expulsion des Juifs de Provence et de l'Europe méditerranéenne (XVe – XVIe siècles) : Exils et conversions, Paris et Louvain, Peeters, coll. « Revue des études juives », (ISBN90-429-1634-6, lire en ligne), p. 111-128.
↑Jean-Pierre Kintz, « Carrichter Bartholomeus », dans Nouveau Dictionnaire de biographie alsacienne, Fédération des sociétés d'histoire et d'archéologie d'Alsace, (lire en ligne).