Ouverture au public de la pharmacie du monastère franciscain de Raguse en Croatie[2], attestée en 1317 et l'une des trois plus anciennes officines encore en activité en Europe en 2011[3].
Jean Tarlevet fonde l'hôpital Saint-Jacques, à Dijon, pour accomplir un vœu formé pendant sa captivité lors d'un pèlerinage au Saint-Sépulcre[4].
Fondation par Henczman Izenrinkel à Nová Baňa, en Slovaquie, d'un hôpital pour les mineurs âgés ou invalides[5].
Le comte Rouge étant mort, au château de Ripaille, très probablement du tétanos, le médecin Jean de Granville († ) et l'apothicaire Pierre de Lompnes († ) sont accusés de l'avoir empoisonné[6].
Avant le : Bernard Berotierii (né à une date inconnue), chirurgien à Avignon[15].
1391 au plus tôt : Jean de Melduno (né à une date inconnue), médecin, peut-être empoisonné par son confrère Jean de Grandville († ), pour avoir jugé qu'Amédée VII, comte de Savoie, dit le comte Rouge, avait lui-même été empoisonné[11].
Références
↑Frédéric Schoell, Cours d'histoire des États européens : Depuis le bouleversement de l'Empire romain d'Occident jusqu'en 1789, vol. 10, Paris, chez l'auteur, (lire en ligne), p. 150, n. 2.
↑Pierre Julien, « La Pharmacie des Petits Frères et la Médecine à Dubrovnik [compte rendu, référence : Collectif (préf. Hrvoje Tartalja), Spomenica 650-godisnjice Ijekarne « Male Brace » u Dubrovniku [« Commémoration du 650e anniversaire de la pharmacie Male Brace à Dubrovnik »], Zagreb, Institut za povijest prirodnih, matematiôkih i medicinskih nauka Jazu, et Pliva, , in-8°, 135 p., ill., 3 pl. h.-t. coul.] », Revue d'histoire de la pharmacie, vol. 56, no 199, , p. 210 (lire en ligne).
↑Aurore-Diane Simon et Vincent Tabbagh (dir.), Implantations, activités et relations des établissements d’assistance en Bourgogne à la fin du Moyen Âge (thèse de doctorat en histoire de l'université de Bourgogne, soutenue le 30 octobre 2012) (lire en ligne), p. 229-230.
↑(en + sk) « Historical Landmarks », sur le site officiel de la ville de Nová Baňa [lire en ligne (page consultée le 10 juin 2017)].
↑Il témoigne au procès en réhabilitation de Jeanne d'Arc qui s'ouvre le 7 juillet 1455.
↑ a et bErnest Wickersheimer et Guy Beaujouan (éd.), Dictionnaire biographique des médecins en France au Moyen Âge, vol. 2, Genève, Droz, coll. « Hautes études médiévales et modernes » (no 34/2), (1re éd. 1936), 781 p. (ISBN978-2-600-03384-8, lire en ligne), « Regnault Thierry », p. 690, « Jean de Melduno », p. 447.
↑« Heinrich von Laufenberg (1390?-1460) » (BNF12195934).
↑(de) Hans-Dieter Mück, « Laufenberg, Heinrich », dans Neue Deutsche Biographie [en ligne], vol. 13, (lire en ligne), p. 708 f.
↑Ernest Wickersheimer et Guy Beaujouan (éd.), Dictionnaire biographique des médecins en France au Moyen Âge, vol. 1, Genève, Droz, coll. « Hautes études médiévales et modernes » (no 34/1), (1re éd. 1936) (ISBN978-2-600-04664-0, lire en ligne), « Bernard de Berotierii [Berroerii] », p. 72.