Élections législatives de 1956 dans les Bouches-du-Rhône
Les élections législatives françaises de 1956 se tiennent le . Ce sont les dernières élections législatives de la Quatrième république, après les élections de novembre 1946 et de juin 1951. Mode de scrutinL'Assemblée nationale est composée de 626 sièges pourvus au scrutin proportionnel plurinominal suivant la règle de la plus forte moyenne dans le cadre départemental, sans panachage. Le vote préférentiel est admis, en inscrivant un numéro d'ordre en face du nom d'un, de plusieurs ou de tous les candidats de la liste. Mais l'ordre ne pourra être modifié que si au moins la moitié des suffrages portés sur la liste est numéroté. Dans les faits les modifications ne dépasseront jamais les 7%. La loi électorale du , dite loi des apparentements, reste en vigueur. Elle permet à la base une répartition des sièges à la représentation proportionnelle dans le département, mais si des listes « apparentées » avant le déroulement du scrutin obtiennent ensemble une majorité absolue de suffrages exprimés, elles reçoivent directement tous les sièges à pourvoir. Dans le département du Bouches-du-Rhône, treize députés sont à élire. Élus
RésultatsPremière circonscription (Marseille)
Deuxième circonscription (Aix-Arles)
Ce dernier sera déclaré invalide le 7 février par l'Assemblée, ce qui fera perdre sa place à Marius Baryelon, mais permettra à Max Juvénal (SFIO) numéro deux de la liste de rejoindre à l'Assemblée. La liste RGRIF se retire avant le jour de vote mais reste inscrite à la préfecture.
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Notes et références
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