Édith Léonie Rose Camille Vaucamps naît le à Maubeuge, du mariage de Léon Vaucamps, chef de comptabilité, et de Julie Thérèse Camille Ghislaine Sion, demeurant à Maubeuge[1].
En 1900, Édith Vaucamps, domiciliée chez ses parents à Outreau épouse Paul Charles Hippolyte Liborel. Veuve, elle épouse, en secondes noces, en 1909, Henri Charles Rollet, puis, divorcée, épouse, en troisièmes noces, en 1922, Ernest Charles Tordeur[2], sous-directeur de société. Au moment de son troisième mariage, elle est domiciliée avec sa mère, au 105, rue Blomet dans le 15e arrondissement de Paris[3],[4].
Parcours
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En 1936, elle écrit dans le journal Marianne[7] et reçoit pour son livre Labyrinthes, un recueil de trois nouvelles, le prix créé par le magazine Pourquoi pas ?[8],[9].
Toujours mariée à Ernest Tordeur, Édith Vaucamps meurt en 1953, en son domicile du 157 avenue de Mai à Woluwe-Saint-Lambert[10].
Œuvres
Étaples, le port, la nuit, entre 1900 et 1910, huile sur toile, 90 × 102 cm, collection particulière[6].
Exposition
« Le socle et la cimaise. Exposition Édith Vaucamps (Mme Ernest Tordeur », L'Art belge. Revue franco-belge du mouvement artistique, , p. 6 (en ligne sur Gallica).
Publication
Labyrinthes, Bruxelles, La Renaissance du livre, 1935[8]
↑ a et bMusée du Touquet-Paris-Plage et Marie-Françoise Bouttemy, Lumière d’Opale : Les peintres étrangers de la colonie d’Étaples (1880-1920), Le Touquet-Paris-Plage, Aprim & Henry 62170 Montreuil, , 75 p. (ISBN978-2-9580069-0-7), p. 56.