La banque centrale pionnière en ZIRP est la Banque du Japon, qui a fixé des taux d'intérêt nuls ou quasi nuls de 1999 à 2005, à la suite de la bulle spéculative japonaise. Elle a seulement été interrompue brièvement entre août 2000 et mars 2001. Cette politique a été associée à du quantitative easing[3]. La politique de taux d'intérêt zéro est un échec car elle ne permet pas au Japon de stimuler son économie[4]. Certains économistes ont mis en cause la faible qualité de la communication de la Banque du Japon[5].
↑(en) Tomohiro Sugō, The Zero Interest Rate Policy, Institute for Monetary and Economic Studies, Bank of Japan, (lire en ligne)
↑(en) Han Chen, « Assessing the Effects of the Zero-Interest-Rate Policy through the Lens of a Regime-Switching DSGE Model », Fed Papers, (lire en ligne, consulté le )
↑Mahito Uchida, « Towards the end of deflation in Japan?: Monetary policy under Abenomics and the role of the central bank », Revue de l'OFCE, vol. 135, no 4, , p. 243 (ISSN1265-9576 et 1777-5647, DOI10.3917/reof.135.0243, lire en ligne, consulté le )
↑Stéphane Cieniewski, « Pourquoi la réussite de la politique d’assouplissement quantitatif de la Banque du Japon ne bénéficie-t-elle pas davantage à l’économie japonaise ? », Revue d'économie financière, vol. 119, no 3, , p. 97 (ISSN0987-3368 et 1777-5744, DOI10.3917/ecofi.119.0097, lire en ligne, consulté le )
↑(en) United States Congress House Committee on Financial Services Subcommittee on Domestic Monetary Policy and Technology, Impact of Monetary Policy on the Economy: A Regional Fed Perspective on Inflation, Unemployment, and QE3 : Hearing Before the Subcommittee on Domestic Monetary Policy and Technology of the Committee on Financial Services, U.S. House of Representatives, One Hundred Twelfth Congress, First Session, July 26, 2011, U.S. Government Printing Office, (ISBN978-0-16-089771-9, lire en ligne)