Le ZMapp est développé par Mapp biopharmaceutical Inc., résultat de la collaboration entre Mapp biopharmaceutical (San Diego) et l'Agence de santé publique du Canada[1].Mapp biopharmaceutical aurait été financé par l'armée américaine[2]. La production du médicament à partir de plants de tabac[3] est encore très limitée et prend plusieurs mois.
En 2016, un essai clinique randomisé a montré que le ZMapp n'était pas efficace pour soigner la maladie Ebola[4].
Les doses ont permis de traiter quelques soignants avec des premiers résultats encourageants[7], mais les quantités disponibles sont trop faibles (entre 800 et 1 000) pour avoir un impact sur l'épidémie.
↑« Ébola : autopsie d’un virus », RTS Un, Radio télévision suisse « 36.9° », (lire en ligne [[vidéo] durée : 1:00:01])
« Comment survivre dans la pagaille et la peur que génère l’épidémie d’Ebola ? Une équipe de 36.9° est partie en Guinée, au cœur du désastre, à la rencontre des soignants locaux mais aussi des volontaires occidentaux qui sont au front et tentent d’éviter la propagation. Qui est ce virus, d’où vient-il, comment se transmet-il ? Et surtout : comment l’arrêter ? Une émission spéciale monothématique pour mieux cerner ce mal. »