Timothy (Tanner Cohen(en)), un jeune homosexuel rêveur, est sollicité par son professeur Tebbit (Wendy Robie) pour jouer le rôle de Puck dans Le Songe d'une nuit d'été. Essayant de fuir de la réalité de son lycée en s'évadant dans ses rêves musicaux, il découvre la recette d'une potion magique permettant de rendre les gens amoureux de la première personne qu'ils voient et ce quel que soit son sexe, puis n'hésite pas à l'utiliser sur tous les habitants de la ville, la famille, les amis, les ennemis et surtout Jonathon Nathaniel David Becker) dont il est amoureux.
Histoire
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Aux États-Unis, le film reçoit un accueil positif. Le site agrégateur de critiques Rotten Tomatoes recense 24 critiques du film, dont 71% donnent un avis positif.
Enchanteur ! Attachant ! Frappant ! Magique, le film musical ! (Enchanting! Endearing! Striking! Movie musical magic!), The New York Times[5].
Il me donne chaud au cœur (It made my heart soar), indieWire[6].
Un film qui rappelle John Waters (At times reminiscent of John Waters), The Miami Herald[7].
Sélection des critiques : absolument à voir ! (Critics' Pick - Must See!), New York Magazine[7].
Osé et réussit comme un spectacle chaleureux qui s'éveille. (Dares and succeeds as a rousing warm-hearted spectacle), The Hollywood Reporter[8].
En France, le site Allociné recense des critiques spectateurs majoritairement favorables, avec une note moyenne de 3,3 étoiles sur 5. En revanche, les 5 critiques presse collectées donnent toutes un avis négatif, avec une note moyenne de 1,8 étoile.
Tout commence par le court-métrage Fairies[1] de Tom Gustafson en 2003[9] qui a également été un triomphe sur le circuit festivalier en gagnant plusieurs prix des festivals gay, ce réalisateur avec Cory James Krueckeberg qui se forment un couple dans la vie[10] organisent en 2006 plusieurs lectures du script à New York Musical Theatre Festival, puis avec NewFest. Ensemble ils écrivent entièrement les numéros musicaux qu'ensuite ils créent quatre mois avant le tournage avant d'aller au studio d'enregistrement.
L'expérience de ce tournage dure vingt-quatre jours, précisément quatre semaines de six jours à Chicago, ce qui montre le réalisateur rapide, amusant et frénétique[9] comme le témoigne Zelda Williams.