À 6 h à Marseille, sans nouvelles de l'avion qui devait se poser une heure plus tôt, les autorités s'alarment et dépêchent des avions de reconnaissance dans la zone. L'un d'entre eux découvre la carcasse du Lockheed vers midi et se pose à proximité pour se rendre compte qu'il n'y a aucun survivant. Un détachement militaire est envoyé sur place depuis un avant-poste voisin et une équipe d'experts décolle de Paris pour débuter l'enquête[3].
Victimes
Parmi les soixante-dix-huit victimes (dont dix-huit enfants) [4], se trouvaient :
« On avait l'impression que l'avion s'était écrasé à plat sur le sol puisque l'on distingue sa silhouette ; il n'y avait pas un morceau plus grand qu'une chaise ; chose étonnante, des billets de banque volaient au vent léger du site. On a retrouvé cinq ou six membres de l'équipage serrés les uns contre les autres... peut-être pour aider les pilotes à redresser l'avion. »
↑(en) P.D. Stemp, Kites, Birds & Suff : Aircraft of the United States of America : Lockheed Aircraft, Lulu.com, , 424 p. (ISBN978-1-326-10026-1), p. 255 [lire en ligne (page consultée le 7 décembre 2019)].
↑ a et b(en) Edgar A. Haine, Disaster in the Air, New York et Londres, Cornwall Books, , 394 p. (ISBN0-8453-4777-2), p. 172–173 [lire en ligne (page consultée le 7 décembre 2019)].