Viola Ardone (née le 21 novembre 1974) est une romancière italienne.
Vie et carrière
Née à Naples, Ardone étudie au lycée classique de Naples et obtient en 1996 un diplôme en lettres à l'Université de Naples Federico II[1],[2]. Après avoir collaboré avec l'éditeur de livres éducatifs Edizioni Simone, elle commence à travailler comme professeur de littérature[2].
Après plusieurs nouvelles, Ardone fait ses débuts romanesques en 2013 avec La ricetta del cuore in subbuglio (« Recette pour le cœur en ébullition »)[2]. Elle perce en 2019 avec Il treno dei bambini(it), un roman historique sur une famille impliquée dans l'initiative des trains du bonheur[3],[4]. Le roman a été traduit en 36 langues[5] et a été adapté par Cristina Comencini dans un film original Netflix portant le même titre[6],[7].
Son roman suivant, Le cœur incassable d'Oliva Denaro, s'inspire des événements de la vie de Franca Viola[2],[8],[9].
↑(it) Pier Luigi Razzano, « Viola Ardone: "La mia infanzia tra Arenella e Sanità e la mia vocazione per la scrittura" », la Repubblica, (lire en ligne, consulté le )
↑Alida Becker, « Spanning Centuries and Continents, Novels of Our Common Humanity », The New York Times, (lire en ligne, consulté le )
↑Mackenzie Dawson, « WWII novel reveals story of trains that saved Italy's children », New York Post, (lire en ligne, consulté le )
↑(it) « Memoria e parola scritta, grandi temi toccati insieme a Viola Ardone: “Se la differenza è discriminazione, dite no” », Giffoni, (lire en ligne, consulté le )
↑(it) Stefania Ulivi, « La Netflix italiana da "Supersex" al "Gattopardo". « Raccontiamo il Paese, quello vero, senza tabù» », Corriere della Sera, (lire en ligne, consulté le )
↑Alex Billington, « First Teaser Trailer for Heartwarming Italian Film 'The Children's Train' », FirstShowing.net, (lire en ligne, consulté le )
↑Anne Donadey, « Choice and solidarity in Viola Ardone's Oliva Denaro », Forum Italicum: A Journal of Italian Studies, vol. 57, no 4, (lire en ligne)
↑(it) Filomena Spolaor, « Violenza, "Oliva Denaro" e quei "no" che cambiano il mondo », Il Sole 24 Ore, (lire en ligne, consulté le )