Proche de Léon Walras, il influence notamment son explication des crises en termes de surcapitalisation. Il aide Walras à entrer en 1860 au journal La Presse grâce à son amitié avec Félix Solar[3].
Bonnet travaille notamment sur les cycles économiques[4] et la monnaie[5]. Il se positionne contre les droits de douane[6].
Il échoue à être élu au conseil d'administration de la Banque de France en 1869 et 1871[7].
Questions économiques et financières à propos des crises, 1859 Texte en ligne
Le Crédit et les banques d'émission, 1865
Études d'économie politique et financière, 1868
Études sur la monnaie, 1870
La Question des Impôts, 1879
Opuscules et articles
Protection, libre échange, 1853
La Liberté des banques d'émission et le taux de l'intérêt, 1864
L'Enquête sur le crédit et la crise de 1863-64, 1866
Dégrèvement et amortissement au moyen de la conversion, 1880 Texte en ligne
Les Budgets futurs de la France et les impôts nouveaux, 1871 Texte en ligne
Les Impôts après la guerre, 1871
L'Emprunt de trois milliards, 1872
Le Paiement de l'indemnité prussienne et l'état de nos finances, 1873
La Dépréciation de l'argent et la question monétaire, 1875
L'Expérience nouvelle du papier-monnaie, 1876
La Nouvelle Conférence monétaire, 1881
Notes et références
↑Acte de naissance de Victor Bonnet sur le site des archives départementales d'Eure-et-Loir, commune de Maintenon, le 23 avril 1814
↑Nécrologie et obsèques de Victor Bonnet « Le Temps » 31 juillet 1885
↑Roberto Baranzini, « Les crises et les institutions du crédit dans les écrits de jeunesse de Léon Walras », Revue d'économie politique, vol. 115, no 4, , p. 451 (ISSN0373-2630 et 2105-2883, DOI10.3917/redp.154.0451, lire en ligne, consulté le )
↑Philippe Laurier, La monnaie dans tous ses états : Création, destruction, utopie et maldonnes monétaires au cœur des dysfonctionnements de l'économie, Maxima, (ISBN978-2-8188-0788-0, lire en ligne)
↑Académie des Sciences Morales et Politiques (Paris), Séances et travaux de l'Académie des Sciences Morales et Politiques, Picard, (lire en ligne)
↑Académie des sciences morales et publiques Paris, Mémoires, (lire en ligne)