Viala-du-Pas-de-Jaux

Viala-du-Pas-de-Jaux
Viala-du-Pas-de-Jaux
Tour du Viala-du-Pas-de-Jaux
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Millau
Intercommunalité Communauté de communes Larzac et Vallées
Maire
Mandat
Lucien Moulieres
2020-2026
Code postal 12250
Code commune 12295
Démographie
Gentilé Vialarains
Population
municipale
93 hab. (2021 en évolution de −4,12 % par rapport à 2015)
Densité 4,9 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 57′ 27″ nord, 3° 03′ 23″ est
Altitude Min. 720 m
Max. 879 m
Superficie 18,95 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Saint-Affrique
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Causses-Rougiers
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Viala-du-Pas-de-Jaux

Viala-du-Pas-de-Jaux est une commune française située dans le département de l'Aveyron, en région Occitanie.

Le patrimoine architectural de la commune comprend un membre (commanderie) protégé au titre des monuments historiques : la tour, inscrite en 1993.

Géographie

Localisation

Le Viala-du-Pas-de-Jaux se situe sur le plateau du Larzac, à 20 kilomètres de Saint-Affrique et à 35 kilomètres de Millau.

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont La Bastide-Pradines, Lapanouse-de-Cernon, Sainte-Eulalie-de-Cernon, Saint-Jean-et-Saint-Paul et Tournemire.

Géologie

Hydrographie

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 186 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 5,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de La Cavalerie à 10 km à vol d'oiseau[3], est de 10,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 934,2 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Milieux naturels et biodiversité

Espaces protégés

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[7]. Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional des Grands Causses, créé en 1995 et d'une superficie de 327 937 ha, s'étend sur 97 communes. Ce territoire rural habité, reconnu au niveau national pour sa forte valeur patrimoniale et paysagère, s’organise autour d’un projet concerté de développement durable, fondé sur la protection et la valorisation de son patrimoine[8],[9],[10].

Sites Natura 2000

Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[11].

Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[12] :

  • Les « Cirques de Saint-Paul-des-Fonts et de Tournemire », d'une superficie de 676 ha, situés bordures sud-ouest du Causse du Larzac, présentent des corniches calcaires et des escarpements rocheux. On y trouve aussi des cavités et des grottes. La cassure avec la bordure du plateau est brutale, le paysage est marqué par un étagement des activités agricoles depuis la vallée jusqu'au plateau : cultures et prairies dans la vallée et l'avant-causse, forêts sur les pentes (chênes pubescents, pins sylvestres), parcours sur le causse[13] ;

Les « Devèzes de Lapanouse et du Viala-du-Pas-de-Jaux », d'une superficie de 1 585 ha, sont situées sur le Causse du Larzac. Les devèzes sont caractérisées par la présence de pelouses calcaires et steppiques (parcours à ovins et bovins) encore bien entretenues. Elles sont réputées pour leur richesse en orchidées et sont accessibles facilement. Les paysages sont un mélange de milieux ouverts (landes à buis et genévriers, pelouses) et de forêts de chêne pubescent[14] ;

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Viala-du-Pas-de-Jaux comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 1],[15], les « Cirques de Saint-Paul-Des-Fonts et de Tournemire » (1 189 ha), couvrant 6 communes du département[16] ; et le « Devèze du Viala-du-Pas-de-Jaux et serre de Cougouille » (2 515 ha), couvrant 5 communes du département[17] et une ZNIEFF de type 2[Note 2],[15], le « Causse du Larzac » (50 424 ha), qui s'étend sur 23 communes dont 21 dans l'Aveyron et 2 dans l'Hérault[18].

Urbanisme

Typologie

Au , Viala-du-Pas-de-Jaux est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Affrique, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 2]. Cette aire, qui regroupe 16 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].

Occupation des sols

Infrastructures et occupation des sols de la commune de Viala-du-Pas-de-Jaux.

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (76,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (76,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (68,1 %), zones agricoles hétérogènes (14,6 %), terres arables (8,6 %), forêts (8,6 %)[19].

Planification

La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Parc naturel régional des Grands Causses, approuvé le vendredi par le comité syndical et mis à l’enquête publique en décembre 2019. La structure porteuse est le Pôle d'équilibre territorial et rural du PNR des Grands Causses, qui associe huit communautés de communes, notamment la communauté de communes Larzac et Vallées, dont la commune est membre[20].

La commune disposait en 2017 d'un plan local d'urbanisme en révision[21]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[22].

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Viala-du-Pas-de-Jaux est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon[23],[24].

Risques naturels

Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité forte[25].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés à la présence de cavités souterraines localisées sur la commune[26],[27].

Risque particulier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Viala-du-Pas-de-Jaux est classée à risque moyen à élevé[28]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[29] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[30].

Toponymie

Albert Dauzat, Charles Rostaing[31] et Ernest Nègre[32] ne citent pas de formes anciennes pour ce nom de lieu.

Le premier élément Viala- est la forme occitane, correspondant au mot ville en langue d'oïl, au sens ancien de « domaine rural », puis « village », caractéristique des formations toponymiques médiévales[33]. Ce terme est issu ultimement du gallo-roman VILLA « grand domaine rural ». Ernest Nègre[34] considère qu'il s'agit d'une variante de vilar « village, hameau » qui aurait à la fois donné vialar et vialà, caractéristique lui aussi du Moyen Âge. Ce dernier terme étant issu du gallo-roman VILLARE, dérivé tardif du premier.

Le déterminant complémentaire -le-Pas-de-Jaux peut s'analyser en deux parties :

  • -le-Pas désignerait le lieu le mieux choisi pour franchir l'escarpement abrupt des falaises, desserte la plus directe, la plus facile, du plateau et de la vallée par le col. Il s'agit ici probablement du terme roman « pas », attesté vers 1330 en français au sens de « passage, entrée », puis en 1530 « détroit » et en 1559 « défilé »[35]. Les cirques environnants montrent bien la difficulté de leur accès, réservant la traversée rocheuse à de seul passages naturels de bordure, chemins accidentés ou à des drailhes. La route du XIXe siècle emprunte la pente la plus douce, démontrant si besoin est, que le passage par le Pas-de-Jaux fut toujours le plus aisé, entre les pentes du Viala de Cornus et les Côtes de Roquefort.
  • -de-Jaux s'avère impossible à déterminer en l'absence de formes anciennes. Le terme se réfère peut-être à Jovis, Jupiter le dieu romain, à qui étaient dédiées certaines élévations du relief. Cf. Montjaux (de Monjuous 1260, Monsjovis 1383[36],[37]); Montjoux (Drôme, castrum Montis Jovis 1278); Jou-sous-Monjou[38]. En ce qui concerne le Viala, le temple desservi par le chemin en le Pas, était non pas Montjaux, mais celui de l'îlot calcaire de Tauran, situé directement à l'ouest de Tournemire[réf. souhaitée]. Il peut s'agir du gallo-roman *JUGU « sommet de montagne », issu du latin jugum. Ces explications restent cependant conjecturelles.

Histoire

Les Templiers et les Hospitaliers

Le membre de Viala-du-Pas-de-Jaux fut acquis par donation à l'ordre du Temple dès 1150. C'était alors un domaine agricole important, au milieu duquel se trouvait un ensemble d'habitations et de défenses rattaché à la Commanderie de Sainte-Eulalie-de-Cernon. Il fut remis aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem par la dévolution des biens de l'ordre du Temple.

L’église est construite vers 1315 après la dévolution. Vers 1430, les habitants du village obtiennent du commandeur le droit d'ériger une tour-grenier pour se protéger des pillards, Sainte-Eulalie-de-Cernon étant trop éloignée.

Politique et administration

Découpage territorial

La commune de Viala-du-Pas-de-Jaux est membre de la communauté de communes Larzac et Vallées[I 2], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Cornus. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[39].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Millau, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 2]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton des Causses-Rougiers pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 2], et de la troisième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[40].

Élections municipales et communautaires

Élections de 2020

Le conseil municipal de Viala-du-Pas-de-Jaux, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[41] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[42]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 7. La totalité des sept candidats en lice[43] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 79,07 %[44]. Lucien Moulières, maire sortant, est réélu pour un nouveau mandat le [45].

Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[46]. Un siège est attribué à la commune au sein de la communauté de communes Larzac et Vallées[47].

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1983 2001 René Gauffre    
2001 2014 Nicole Chaudesaygues    
mars 2014 En cours Lucien Moulieres[48],[49]   Ancien artisan, commerçant ou chef d'entreprise
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1846. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[51].

En 2021, la commune comptait 93 habitants[Note 4], en évolution de −4,12 % par rapport à 2015 (Aveyron : +0,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886
320320308287285285271304289
1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936
276273244224222199174171152
1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006
125124971008087857496
2007 2012 2017 2021 - - - - -
99959993-----
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[52] puis Insee à partir de 2006[53].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Emploi

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 5] 3,5 % 4,2 % 7,8 %
Département[I 6] 5,4 % 7,1 % 7,1 %
France entière[I 7] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 50 personnes, parmi lesquelles on compte 68,6 % d'actifs (60,8 % ayant un emploi et 7,8 % de chômeurs) et 31,4 % d'inactifs[Note 5],[I 5]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était inférieur à celui du département et de la France en 2008.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Saint-Affrique, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 1],[I 8]. Elle compte 14 emplois en 2018, contre 15 en 2013 et 10 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 32, soit un indicateur de concentration d'emploi de 44,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 42,4 %[I 9].

Sur ces 32 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 10 travaillent dans la commune, soit 31 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 71,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,1 % les transports en commun, 9,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 15,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].

Activités hors agriculture

6 établissements[Note 6] sont implantés à Viala-du-Pas-de-Jaux au [I 12]. Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 66,7 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 6 entreprises implantées à Viala-du-Pas-de-Jaux), contre 17,7 % au niveau départemental[I 13].

Agriculture

1988 2000 2010 2020
Exploitations 6 5 6 4
SAU[Note 7] (ha) 1 405 1 285 1 895 1 664

La commune est dans les Grands Causses, une petite région agricole occupant le sud-est du département de l'Aveyron[54]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 8] sur la commune est l'élevage d'équidés et/ou d' autres herbivores[Carte 2]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 9] (six en 1988). La superficie agricole utilisée est de 1 664 ha[56],[Carte 3],[Carte 4].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

  • Lavagnas (points d'eau pour abreuver le bétail), drayas et passadas (voies réservées aux troupeaux).

Bibliographie

  • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Jean Geniez), Cornus : Lo Clapièr, Fondamenta-Montpao(n), La Panosa, Senta-Aularia, Sent-Baulise, Sent-Jan-Sent-Paul, La Tor-Marn(h)agas, Lo Vialar / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Cornus, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 239 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-32-7, ISSN 1151-8375, BNF 36694302)

Voir aussi

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Liens externes

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  6. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  7. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  8. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  9. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[55].
  • Cartes
  1. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  2. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

  1. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  2. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune ».
  3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Affrique », sur insee.fr (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
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  6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aveyron » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  8. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  9. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Viala-du-Pas-de-Jaux » (consulté le ).
  10. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  11. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Viala-du-Pas-de-Jaux » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aveyron » (consulté le ).

Autres sources

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  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Viala-du-Pas-de-Jaux et La Cavalerie », sur fr.distance.to (consulté le ).
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  14. « site Natura 2000 FR7300860 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  33. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
  34. op. cit.
  35. [1]
  36. E. Nègre, op. cit., p. 402.
  37. Cependant, A. Dauzat et CH. Rostaing préfèrent y voir un MONS GALLUS « Mont Coq », occitan gal, francisé en jau, ancien français pour « coq ». Ils le relient donc à toute une série toponymique en Mon(t)- + nom d'oiseau. cf. Montfaucon, Montpaon, etc.
  38. A. Dauzat et CH. Rostaing, op. cit., p. 370 et 470
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