« Le Valbonnais est essentiellement la vallée moyenne de la Bonne, affluent du Drac.[…] C’est une large cuvette qui s’ouvre à la sortie de la gorge du Pont du Prêtre fermée au Nord par la masse importante du Quoirau, à l’est par les contreforts étagés de l’Arcanier, et au midi par le Colombier que prolonge la chaîne de l’Averset. C’est un fond de lac alpin, sur les bords duquel se trouve l’agglomération de Valbonnais (750 mètres d’altitude) et les hameaux de Verneys, des Angelas, de la Roche, plus à l’est, Entraigues. »
— Marcelle Péry, A l'ombre de la montagne, Éditions de l'Ubac, 2006
La commune de Valbonnais est située à la lisière nord-ouest du massif des Écrins, dans la zone périphérique du parc, à une dizaine de kilomètres à l'est de la Mure. Elle occupe une plaine alluviale formée par la Bonne, affluent du Drac, qui la traverse d'est en ouest. Elle est dominée au nord par le Coiro, pointe sud du massif du Taillefer, qui culmine à 2 606 mètres, et séparée au sud du Beaumont par un alignement collinaire qui prolonge vers l'ouest le mont Colombier (alt. 1 948 m), et qui n'est franchissable qu'au col de Parquetout (alt. 1 382 m).
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 109 mm, avec 8,6 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lavaldens », sur la commune de Lavaldens à 9 km à vol d'oiseau[3], est de 8,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 241,5 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Hydrographie
Le territoire de la commune est traversé par la Malsanne[7], un affluent (rive droite) de la Bonne et donc un sous affluent du Drac et de l'Isère.
Voies de communication
Valbonnais est traversé d'est en ouest par la route départementale (ex-nationale) 526, qui, côté aval, rejoint au lieudit Pont-Haut, au sud de la Mure, la route nationale 85 (la « route Napoléon »), et, côté amont, remonte au nord-est vers le col d'Ornon pour rejoindre l'Oisans, en laissant à Entraigues un embranchement vers le Valjouffrey. Au sud, la petite D 212f monte depuis le pont des Fayettes vers le col de Parquetout, d'où elle redescend vers Saint-Michel-en-Beaumont.
Urbanisme
Typologie
Au , Valbonnais est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8].
Elle est située hors unité urbaine[9] et hors attraction des villes[10],[11].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (76,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (79,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (57,2 %), zones agricoles hétérogènes (22,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (9,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,4 %), zones urbanisées (1,3 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le territoire de la commune correspond au bassin versant du torrent alpin de la Bonne, ce qui explique son nom.
La rivière, ancien français bone/bodne/bonne, du gaulois bodina, "borne, limite", faisait la frontière entre les Ucènes de la Romanche et les Tricores du Trièves et du Valgaudemar.
Les sources disponibles pour établir l'histoire de Valbonnais sont relativement réduites jusqu'au Moyen Âge classique. En revanche, à partir de cette période, elles sont beaucoup plus nombreuses et ont fait l'objet d'études sur certains points.
La région est anciennement connue comme Vallis bonnesii, vallée du Bonnesium (nom gallo-romain).
Descriptions historiques
Descriptions historiques
« Le Valbonnais, c'est le territoire de l'intime, le territoire de la discrétion. Les terres toujours insuffisantes sont toutes travaillées et la forêt qui les relaie est présente en grands massifs continus et têtus. Dans toute sa modestie de société rurale, le Valbonnais tient presque au secret ses trésors, lacs, alpages, grands sommets. Comment ne pas citer l'Olan qui ferme la vallée de Font Turbat de sa fière paroi? Le Désert en Valjouffrey, Valsenestre, le Périer, Chantelouve, Valbonnais, les Engelas, Lavaldens, la Morte, lieux de vie presque timides où chacun fait ce que le territoire impose : travaillant et la mine et la terre, s'en allant l 'hiver pour colporter savoir-faire et tissus. De ces temps impossibles le Valbonnais ne fait guère état, cherchant aujourd'hui un nouvel équilibre entre tourisme de découverte et économie agricole, forestière. Il a la sagesse de l'écart. Le visiteur en quête d'équilibre embrasse un paysage qui est une véritable leçon. […] Les travaux et les jours martèlent comme le pas ce grand pays de silence immobile et de vies au secret. »
— Claude Dautrey, Randonnée pédestre dans le Parc National des Ecrins, Editions Olizane, 2006
« Le Valbonnais est un vallon étroit, mais fertile, arrosé par une petite rivière nommée Bonne. Voilà l'étymologie de sa dénomination ; aussi dans quelques anciens actes est-il nommé vallis Bonna ou Bonnae, vallis Bonnensis, vallée Bonne ou de la Bonne. Les limites du Valbonnais, qui fait partie du canton d'Entraygues, sont encore fixées en largeur par les crêtes des deux chaînes qui forment la vallée principale. Les deux extrémités, dans le sens de la longueur, sont la montagne de Turbate [cirque de Font-Turbat au pied de l'Olan], où la Bonne prend sa source, et le territoire de la commune de Valbonnais, où résidait jadis le seigneur de tous ces pays… Mais ce vallon a deux embranchements, dont l'un conduit à la commune de Chantelouve, qui fait partie du Valbonnais. Cet embranchement forme aussi une gorge étroite, qui a une issue dans l'Oisans, et qui, depuis Chantelouve, est arrosé par une petite rivière appelée la Marsane ou la Malsaine, parce qu'en effet on prétend que ses eaux sont moins propres à l'arrosage que celle de la Bonne. On doit encore indiquer ici le vallon de Valsenestre, vallis Sinistra, vallée Gauche, qui est aussi une dépendance du Valbonnais, et qui, avec plusieurs autres villages, forme la commune de Valjouffray, même contrée et même canton. »
— Jacques Champollion-Figeac, Extrait de l'Annuaire du Département de l'Isère, années 1811 et 1812, Rapport rédigé en 1810, sur la demande de Joseph Fourier, préfet de l'Isère, pour être adressé au ministre de l'Intérieur
Valbonnais a été au Moyen Âge et jusqu'en 1789 le centre d'une entité féodale (dénommée mandement ou seigneurie) constituée de cinq paroisses : Valbonnais, Entraigues, Valjouffrey, Le Périer, Chantelouve[13].
Cette entité était sous l'autorité d'un seigneur qui percevait des droits et rendait justice sur ses terres. La seigneurie était organisée autour d'un château (certainement le deuxième construit sur le plan chronologique) avec une maison forte à proximité et une tour de contrôle de vingt-huit mètres de haut. Un prieuréclunisien a été fondé à proximité vers 950.
La seigneurie de Valbonnais
La seigneurie de Valbonnais a joué un rôle important pendant le Moyen Âge classique de par l'importance de la famille Alleman, qui a contrôlé le Valbonnais du XIe au XIIIe siècle. La famille Alleman contrôlait plusieurs seigneuries et l'une des quatre plus importantes du Dauphiné. Toutes les branches de cette famille estimaient se rattacher à la seigneurie de Valbonnais, qui était considérée comme le berceau de la famille, même si l'installation des Alleman dans le Valbonnais reste à ce jour inconnue. La famille Alleman perd le contrôle du Valbonnais dans la seconde moitié du XIVe siècle.
La seigneurie est l'objet d'une attention particulière du pouvoir et représente un bien prestigieux ce qui explique qu'elle soit attribuée en 1421 à Jean de Dunois, connu pour avoir été élevé avec le futur Charles VII et un des compagnons de combats de Jeanne d'Arc.
Le mandement du Valbonnais a constitué une baronnie à partir de 1632. En 1677, il devient la propriété de la famille Moret de Bourchenu, lignée de parlementaires dauphinois, qui achète les terres de Valbonnais par échange auprès de Jacques II de Poligny. Il est érigé en marquisat en 1694 au bénéfice de Jean-Pierre Moret de Bourchenu, premier président de la Chambre des comptes du Dauphiné, qui prend alors le titre de marquis de Valbonnais. Le mandement restera aux mains des Moret de Bourchenu jusqu'à la Révolution française, date à laquelle les structures d'Ancien Régime ont été remplacées par les départements, cantons et communes.
De 1926 à 1950, Valbonnais a été desservi par un chemin de fer à voie métrique et à traction électrique, embranchement de la ligne de chemin de fer de La Mure à Corps construit pour desservir les cimenteries de Pont-du-Prêtre, dont on peut encore voir les ruines au bord de la route. Cette cimenterie a occupé une place majeure dans la vie du village du fait de son importance économique pendant une soixantaine d'années (elle ne survit pas à la crise des années 1930 alors que le ciment produit avait été exporté). La voie ferrée comportait une gare intermédiaire à Pont-du-Prêtre, devenue maison d'habitation privée, et une gare terminus à l'entrée du bourg de Valbonnais. Le projet de construction d'un chemin de fer à crémaillère ou d'un téléphérique prolongeant ce chemin de fer en direction de la crête de la Salette n'a pas eu de suite.
En août 1944, des Allemands de la 157e division d'infanterie[14] du général Karl Pflaum qui avaient participé à la destruction du maquis du Vercors le mois précédent ont brièvement occupé la commune de Valbonnais du 9 au 12 août. Cinq résistants furent tués lors de combats qui eurent lieu au lieu-dit "Pont du Prêtre", un résistant fut sommairement exécuté et trois hommes qui se cachaient dans les bois furent également tués[15],[16].
Politique et administration
Administration municipale
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Liste des maires
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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[18].
En 2021, la commune comptait 514 habitants[Note 1], en évolution de +3,01 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
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« Valbonnais veut dire en effet vallis bona, bonne vallee, et c'est bien dit ; car il semble que Dieu ait jeté ici à profusion toutes les bonnes choses de la création. Je ne parle pas seulement des richesses céréales et agricoles qui lui ont fait donner son nom ; on y trouve encore des truites toujours fraîches, des écrevisses exquises, du gibier en abondance, des fruits délicieux, ainsi que nous pûmes nous en convaincre par l'excellent déjeuner qui nous fut servi à Valbonnais. »
— Ernest de Toytot, Voyage de Grenoble à la Salette, Chez Baratier frères et fils, 1863, p.297
Traditionnellement vouée à l'agriculture, la commune de Valbonnais a hébergé pendant une soixantaine d'années une cimenterie, la Société des Ciments Portland de Valbonnais, Pelloux, Père, Fils et Cie, créée en 1878 à Pont-du-Prêtre, à l'extrémité ouest de la commune, pour exploiter les calcaires argileux pour la production de ciments hydrauliques[21]. Mais cette exploitation survit pas à la crise des années 1930 alors que le ciment produit avait été exporté.
Tourisme
La randonnée pédestre est encouragée par de nombreux sentiers de village balisés, des sentiers de randonnée du Plan départemental des itinéraires de promenades et de randonnées (PDIPR), entretenus par la Communauté de communes de la Matheysine (CCM), et le sentier de grande randonnéeGR 50 (tour du Parc national des Écrins), qui traverse la commune entre Oris-en-Rattier et Entraigues[22].
Deux circuits de VTT entretenus par la CCM traversent Valbonnais : Tour du Roussillon et Crête de la Sciau.
Baignade l'été au plan d'eau de Valbonnais, de 6 ha. Sur la base nautique l'association Sport Bien-être et loisirs propose des locations de canoë-kayak et paddle sur le lac ainsi que des descentes en rivière sur la Bonne.
De nombreuses associations locales proposent d'autres activités de nature (chasse, pêche, etc.) ou d'intérieur[23].
Plusieurs gîtes, campings et camping-cars permettent de séjourner sur la commune.
Culture locale et patrimoine
Langue
Historiquement, le Valbonnais (sauf les communes de la vallée de la Roizonne) appartient à la zone de parlers occitans de type vivaro-alpins[24]. En Occitan, la commune se nomme Vaubonés.
Les habitants de Valbonnais sont appelés les Valbonnetins. Les habitants de certains hameaux ont des noms particuliers : Engelaurous (Engelas), Rouchaïrous (la Roche), Vernusaux (les Verneys), Pécharaux (Péchal).
Lieux et monuments
Le vieux château féodal d'Hugonin Alleman, ou petit château de Valbonnais, est connu sous le nom de manoir des Nicolos. Construit à l'origine du XIVe ou XVe siècle, il est remanié dans les siècles suivantes[25],[26].
Le château de Valbonnais, dans la partie sud-ouest du village, construit en 1608[25]. La forme du château n'a que très peu variée depuis ses origines, seules les dépendances jouxtant le château datent de la seconde moitié du XIXe siècle.
Le « carré magique » : une pierre, datant du XVIIe siècle, scellée sur un mur de la rue principale du village :
Cette inscription est un palindrome double : elle peut se lire indifféremment de gauche à droite, de droite à gauche en commençant par le bas, mais aussi verticalement de haut en bas, ou de bas en haut en commençant par la droite. On la trouve en divers lieux et elle a fait couler beaucoup d'encre. Celle-ci, à proximité d'un bâtiment judiciaire, servait peut-être d'élément porte-bonheur visant à protéger le lieu des incendies comme cela arrivait fréquemment[25]. La pierre est classée parmi les monuments historiques au titre d'objet[27].
L'église paroissiale Saint-Pierre de Valbonnais, construite entre 1865 et 1867 en remplacement de l'ancienne église prieurale démolie pour percer une rue[28].
L'église Saints-Jacques-et-Philippe des Engelas, elle aussi du XIXe siècle.
Les chapelles Saint-Jean-Baptiste (à Péchal), Saint-Barthelemy (aux Verneys), de la Nativité (à la Roche), de la Visitation (à Chabrand), Saint-Pierre-et-Saint-Bernard (à Bourcheny).
Le pont des Fayettes, ou pont la Fayette, est un pont routier sur la rivière Bonne, sur la route d'Entraigues. Ce pont, construit essentiellement en bois, a été mis en service en , en remplacement d'un ancien pont en béton à voie unique. Afin de valoriser les ressources naturelles à l'entrée du Parc national des Écrins, le conseil général de l'Isère, maître d'ouvrage, a voulu qu'il soit construit en bois d'essences locales (mélèze, épicéa, pin sylvestre). Pour faire face aux conditions hivernales rudes, il est muni d'une couverture, entièrement en bois, qui lui donne un cachet original.
Jean-Pierre Moret de Bourchenu (1651–1730) : marquis de Valbonnais, magistrat dauphinois, président de la Chambre des Comptes, historien.
Jacques Champollion : né le au hameau de La Roche. Ses parents sont originaires de Valjouffrey. Il quitte Valbonnais en 1770 pour se fixer à Figeac où il se marie le et travaille dans la librairie de son beau-père M. Gallieu. Il est le père de Jean-François Champollion et Jacques-Joseph Champollion.
André Champollion : cousin germain de Jean-François et Jacques-Joseph Champollion, né le au hameau des Angelas. Capitaine au 32e régiment d'infanterie de ligne, il participe aux campagnes d'Italie et d'Égypte puis est prisonnier des Anglais de 1804 à 1814. Fait chevalier de la Légion d'honneur en 1814[30].
Barthélémy Buis : né le au hameau des Verneys, il s’enrôle en 1792 dans le corps des hussards du treizième régiment de Napoléon. Il est blessé de plusieurs coups de sabre à la bataille de Zurich en 1799. Il intègre en 1800 les chasseurs à cheval de la garde impériale. Il est récompensé de la Légion d’honneur le [31] et mis en retraite la même année après plus de 13 années de campagnes.
Jacques Jean Antoine Aribert : né à Valbonnais en 1776 et décédé à Grenoble en 1842. Il remporte à l'École centrale de Grenoble le 2e prix de mathématique. Camarade de Stendhal, celui-ci fera allusion dans la Vie de Henry Brulard, au « bon Aribert », rappelant « sa faiblesse devant la vie et sa bonne foi ». Il fut conseiller municipal de Grenoble et administrateur de l'hospice sous la monarchie de Juillet. Grâce à plusieurs héritages du côté de sa femme, il acquit des biens à Jarrie, Brié et Vaulnaveys, puis des maisons à Grenoble. Il acheta le l'hôtel de Belmont, rue quai Créquy, qu'il garda jusqu'à sa mort.
Antoine Pelloux : fondateur de la Société des Ciments Portland de Valbonnais, Pelloux, Père, Fils et Cie en 1878[35].
Colette Buisson, née Court : née en 1933 à Valbonnais. Présidente du Souvenir français (comité Valbonnais) pendant 18 ans et Présidente Honoraire entre 2012 et 2020. Décédée en 2021.
Héraldique
Valbonnais possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.
Notes et références
Notes et cartes
Notes
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Un détachement du bataillon 179 du Reserve-Grenadier-Regiment 157 composé d'Allemands et de Polonais, (en ligne)
↑Comité du souvenir Français, Du 9 au 15 août 1944, Une semaine de la vie dans la vallée de Valbonnais sous l'occupation allemande, Seyssinet-Pariset, Imprimeurs Réunis, 2004
↑"Paul Emesse, Nacer Ben Ali, Séraphin Oddoux, Antoine Treuille, Georges Weil, Armand Casu, Leyzor Kon, Paul Pichand, Fernand Terreas-Blanc", notice Valbonnais (Isère), du 9 au 11 août 1944, par Jean-Luc Marquer, 9 août 2021
↑M. Berthelot, Hartwig Derenbourg, F.-Camille Dreyfus et al., La grande encyclopédie : inventaire raisonné des sciences, des lettres et des arts, t. 20, H. Lamirault (Paris), 1885-1902 (lire en ligne), p. 990.
↑ abc et dEric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN2-911148-66-5), pp. 708-710.
↑« Henri Collomb est né le 14 décembre 1913 à 2 heures du matin, en la Maison du Fege, dans la commune de Valjouffrey. Il était le fils de Célestin Marcellin Collomb, 36 ans, cultivateur, domicilié aux Moulins, commune de Valbonnais, et de Augustine Fege, 25 ans, ménagère. », Bulletin mensuel de l'Académie delphinale, Académie delphinale, Grenoble, 1988, p.146
Comité du souvenir Français, Du 9 au , Une semaine de la vie dans la vallée de Valbonnais sous l'occupation allemande, Seyssinet-Pariset, Imprimeurs Réunis,