L'émission est diffusée chaque mercredi à 22 h 40. Le rédacteur en chef de l'émission est Fabrice Pierrot. Il était rédacteur en chef de C à vous jusqu'en [2] à l'époque où Alessandra Sublet présentait l'émission. Le producteur est aussi le même puisqu'il s'agit de Pierre-Antoine Capton. À partir de la cinquième émission, l'émission est diffusée en direct. Alessandra Sublet présentera le dernier numéro le mercredi .
Principe
Alessandra Sublet reçoit un invité principal pour une longue interview[3]. Elle reçoit aussi des invités en lien avec l'invité principal. L'invité principal arrive en bateau par la Seine puis lorsqu'il monte l'ascenseur, Alessandra Sublet fait une interview vérité. Les questions sont types, comme « la dernière fois que l'invité est monté au septième ciel », « le plus gros vertige », etc. Puis l'invité arrive sur le plateau au premier étage de la tour Eiffel. À partir de la sixième émission, cette séquence arrivée disparaît.
Rapidement, le concept de l'émission évolue. Il reste bien un invité principal. Avec lui, Alessandra évoque son actualité, il y a un quiz à thème, et il y a son portrait. Le portrait a lui aussi évolué. D'abord, le portrait digital, il y a maintenant le dictionnaire de l'invité. Il s'agit des mots qui définissent l'invité. Il est réalisé par des proches de l'invité.
De plus, chaque semaine, l'émission revient au cours de trois débats sur l'actualité, sur des sujets de sociétés. Souvent un de ces sujets est en lien avec la série proposée juste avant. Il y a plus d'experts et moins de vedettes.
Alessandra Sublet propose aussi à ses invités de lire des « tweets bashing ». Il s'agit de lire les tweets les plus désagréables. Les invités racontent aussi des anecdotes.
Chaque semaine à partir de la 17e émission, Alex Vizorek propose la revue de presse.
Les téléspectateurs sont invités à réagir sur Twitter avec le hashtag #USTE.
À partir de la sixième émission, Alessandra accueille chaque semaine trois chroniqueurs d'un soir. À partir du mois de janvier, l'équipe de chroniqueurs est plus restreinte et tourne autour d'une équipe réduite.
Le , à l'occasion du Festival international du film de comédie de l'Alpe d’Huez, l'émission est renommée Un soir à l’Alpe d’Huez et quitte pour un soir la tour Eiffel pour s'installer en bas des pistes de l'Alpe d'Huez[4].
Pour l'émission du , c'est une spéciale femmes avec uniquement des femmes dans le public, en invitées et également en chroniqueuses.
Critiques
L'émission reçoit plutôt de mauvaises critiques comme le journal Libération qui indique ne plus avoir envie de payer la redevance étant donné la qualité de l'émission, le niveau de langage de l'animatrice et ses rires[5].
Dans la seconde émission, Nicolas Bedos, avec la complicité de la présentatrice, réalise un canular. Alessandra Sublet réalise une fausse interview au sujet d'un livre qui dévoilerait une relation entre Nicolas Bedos et Valérie Trierweiler. Le canular est révélé en fin d'émission, mais beaucoup de personnalités s'indignent et en appellent au CSA[6].
Patrick Timsit est invité dans l'émission et se plaint le lendemain dans C à vous face à Anne-Sophie Lapix que l'émission n'étant pas en direct ait été remontée et soit trop lisse. Il dit avoir eu le sentiment que ce n'était pas la même émission[7].
Anecdotes
Lors de la cinquième émission, Éric Cantona ne monte pas par l'ascenseur et Alessandra Sublet ne fait donc pas l'interview « Vertige ». Elle révèle par la suite qu'il est claustrophobe.
Audiences
En moyenne, l'émission réunissait 923.000 téléspectateurs, soit 8.5 % du public.