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Le roman reçoit le prix Booker 2021, faisant de Galgut le troisième Sud-Africain à remporter le prix.
Résumé
The Promise est une saga familiale s'étalant sur quatre décennies, chacune traitant d'un décès dans la famille. Il s'agit de la famille Afrikaner Swarts et de leur ferme située à l'extérieur de Pretoria. La famille se compose de Manie, de sa femme Rachel et de leurs enfants Anton, Astrid et Amor. La promesse du titre du roman est le dernier souhait de Rachel, en 1986, que leur domestique noire, Salomé, soit propriétaire d'une maison sur la propriété de la famille[5].
Cette promesse, faite par Manie, entendue par la jeune Amor, mais n'est pas tenue. Après près d'une décennie, les frères et sœurs se réunissent à la ferme familiale après que leur père a subi une morsure mortelle de serpent.
Anton hérite de la maison et assure Amor qu'il tiendra la promesse, mais ne le fait pas.
Une autre décennie s'écoule et la tension monte entre frères et sœurs alors qu'Astrid et Anton résistent aux rappels d'Amor d'avoir à honorer la promesse et à transférer légalement la propriété à Salomé, qui y vit maintenant[6].
Les défaillances morales de la famille Swarts ont été interprétées comme étant une allégorie de l'Afrique du Sud post-apartheid et la promesse des Sud-Africains blancs aux Sud-Africains noirs[9],[10]. Jon Day a écrit dans le journal anglais The Guardian que « le potentiel, ou les attentes - de la prochaine génération de Sud-Africains et de la nation elle-même, s'avère tout aussi compromis que celui de leurs parents[8]. »
Accueil
The Promise a reçu le prix Booker 2021[11]. Galgut est le troisième écrivain sud-africain à remporter le Booker, après Nadine Gordimer et J. M. Coetzee, qui l'a remporté deux fois. Galgut a déjà été présélectionné deux fois pour le prix : d'abord en 2003 pour The Good Doctor et de nouveau en 2010 pour In a Strange Room[12].
The Promise a été reçu favorablement par la critique. Dans une critique élogieuse pour Harper's Magazine, Claire Messud a qualifié Galgut de romancier « extraordinaire », écrivant : « Comme d'autres romans remarquables, il est unique en lui-même et supérieur à la somme de ses parties. La Promesse évoque, lorsque vous atteignez la dernière page, un profond changement intérieur qui est tout sauf physique. Ceci, en tant qu'expérience de l'art, n'arrive que rarement et doit être loué. » James Wood du New Yorker a fait l'éloge de la narration de Galgut, écrivant : « Galgut est à la fois très proche de ses personnages troublés et quelque peu ironiquement distant, comme si le roman était écrit en deux signatures temporelles, rapide et plus lente. Et, miraculeusement, cette distance narrative n'aliène pas notre intimité mais émerge comme une autre forme de savoir[7]. »
↑ a et b« The Promise by Damon Galgut review – legacies of apartheid », The Guardian, (lire en ligne, consulté le )
↑Nikhil Krishnan, « Booker Prize shortlist 2021: The Promise by Damon Galgut review – a peculiar apartheid allegory », The Daily Telegraph, (lire en ligne, consulté le )
↑Mia Levitin, « The Promise by Damon Galgut: Is the Booker calling for the South African great? », The Irish Times, (lire en ligne, consulté le )
↑« Damon Galgut wins Booker prize with ‘spectacular’ novel The Promise », The Guardian, (lire en ligne, consulté le )