Terence DuQuesne
Terence DuQuesne est un égyptologue anglais né le à Cambridge et mort le à Croydon (banlieue de Londres). Son principal travail est celui des croyances religieuses des anciens Égyptiens, notamment sur le sujet des divinités chacals de l’Égypte antique. Il a également écrit dans l’encyclopédie UCLA en ligne de l’égyptologie[1]. BiographieJeunesse et débutTerence DuQuesne est né le à Cambridge en Angleterre. Terence DuQuesne publie son premier livre d’étude de sources sexologiques, Catalogi Librorum Eoticorum : A Critical Bibliogrphy of Erotic Bibliogrphies and Book-Catalogues en 1964 à l’âge de vingt-deux ans, et à ce moment-là il savait parler cinq langues. Il avait également gagné différentes bourses au Dulwich College et à Oxford. Il a aussi écrit un livre sur la pharmacologie, Handbook of Psychoactive Medicines. Il co-écrit en 1986, Britain : An Unfree Country avec Edward Goodman mais aussi Illicit Drugs: Myth And Reality for the Libertarian Alliance[2]. Mais la principale occupation de Terence DuQuesne est l’Égypte antique et en particulier sa religion et les dieux chacals. CarrièreTerence DuQuesne avait une grande fascination pour les chiens et un intérêt prononcé pour la religion de l'Égypte antique. Cela l’a amené à étudier les dieux chacals de l’Égypte antique, mais aussi Osiris et la période ptolémaïque de l’Égypte. Il a publié un certain nombre d'ouvrages sur la religion égyptienne, mais son projet à long terme était une vaste enquête sur les dieux chacals d'Égypte. En 2005, il a produit le premier volume de cette étude, qui couvre l'Ancien Empire, chez Darengo Publications. Mais les deux autres volumes prévus restent inachevés à ce jour, par suite de son décès. Terence DuQuesne se rendait souvent en Égypte pour continuer ses travaux égyptologiques. Le plus souvent à Assiout et à Abydos mais aussi dans le sous-sol du Musée égyptien du Caire. Son accès au sous-sol du musée lui a permis de pouvoir étudier plus en profondeur différentes stèles de dévotions, dédié pour la plupart à des dieux chacals, provenant de la tombe de Salakhana, de la XIIe dynastie. À la suite de cela il a publié un livre, The Salakhana Trove, parlant de ce fabuleux trésor. Il a également traduit et écrit des poèmes. Il a aussi fondé Darengo Publications, une maison d’édition qui a pour but de publier ses recherches égyptologiques et ses travaux sur la poésie. Darengo Publications voudrait élargir sa gamme de livre et terminer de publier les différents livres de Terence DuQuesne. Terence DuQuesne a également co-fondé le Yeats Club[source secondaire souhaitée]. DécèsTerence DuQuesne est mort à la suite d'un accident vasculaire cérébral dans un hôpital de Croydon. À l’église All Saints à Londres, Terence DuQuesne a eu des funérailles païennes[1]. Ses cendres ont ensuite été dispersées à Louxor, dans sa terre spirituelle. Au moment de sa mort, le , Terence DuQuesne travaillait à un deuxième volume des Divinités chacal d'Égypte (The Jackal Divinities of Egypt), mais aussi sur un livre intitulé Geography of the Landscape ainsi que sur une nouvelle édition de The Poems of Sappho, mais malheureusement tous ces livres sont inachevés. Il a légué ses documents de recherche au Griffith Institute, tandis que sa bibliothèque égyptologique personnelle a rejoint celles des universités de Swansea et de Lampeter. Le legs à l'institut Griffith comprend le vaste ensemble de notes de recherche, de négatifs, de photographies et de fichiers numériques de DuQuesne sur la tombe de Salakhana[3]. CroyancesIl vénérait Anubis et croyait en l’existence des divinités égyptiennes. Il se considérait plutôt comme un néopaïen et un magicien de cérémonie que comme un kémite car il était un praticien éclectique de la magie. En tant que partisan de la religion comparative, il utilisait un certain nombre de pratiques ésotériques différentes de ses pratiques personnelles. Par exemple, il célébrait les différents sabbats de la roue de l’année, chez les celtes. Il considérait ses recherches et ses écrits sur les dieux chacals égyptiens en particulier et sur l'ancienne religion égyptienne en général comme une dévotion et une partie de ce qu'il appelait « Le Grand Œuvre »[2]. ŒuvresPremiers livres
Livres égyptologiques
Oxfordshire Communications in Egyptology
Seshat
Recueils de poèmes et de traductions
Projets n'ayant jamais vu le jour
ArticlesIl a également écrit plusieurs articles sur l'Égypte antique comme celui sur le fétiche Imi-Out[4]. Notes et références
Liens externes
Voir aussi
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