Partie de la province de Coni (Italie) jusqu'après la Seconde Guerre mondiale, Tende est rattachée à la France en septembre 1947, à la suite du traité de Paris et après consultation des habitants. Par une loi du , entrée en vigueur le 17 septembre 1947, la commune de Tende est créée « à partir d'une partie étrangère » ; le code Insee 06163 ne correspond donc pas à l'ordre alphabétique. Ses habitants sont appelés les Tendasques.
La frontière italienne limite le nord et l'est du territoire de la commune par une ligne de sommets élevés (plus de vingt sommets dépassant 2 000 m, culminant aux cimes de l'Agnel, 2 852 m, avec la brèche du col de Tende à 1 871 m).
À l'est, les massifs rocheux décroissent des crêtes italiennes (plus de 2 000 m) à la vallée (environ 1 000 m). On peut y admirer de magnifiques forêts de mélèzes (implantés[pas clair])[3].
Le , de nombreux villages des diverses vallées des Alpes-Maritimes (Breil-sur-Roya, Fontan, Roquebillière, St-Martin-Vésubie et Tende) sont fortement touchés par un épisode méditerranéen de grande ampleur[6]. Certains hameaux de la commune restent inaccessibles jusqu'à plus d'une semaine après la catastrophe et l'électricité n'a été rétablie que vers le 20 octobre. L'arrêté du portant reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle a identifié 55 communes, dont Tende, au titre des « inondations et coulées de boue du 2 au 3 octobre 2020 »[7].
La commune se trouve dans une zone de sismicité moyenne[8],[9].
Hydrographie et les eaux souterraines
Cours d'eau sur la commune ou à son aval[10],[11] :
La haute Vallée de la Roya reçoit à Tende son affluent, le Réfréi[12], et coupe en son milieu nord-sud l'immense territoire rectangulaire de montagne et de haute montagne, orienté est-ouest ;
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 998 mm, avec 5,8 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[18]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 048,1 mm.
La température maximale relevée sur cette station est de 39,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −10,2 °C, atteinte le [Note 1],[20],[21].
Statistiques 1991-2020 et records TENDE_SAPC (06) - alt : 636m, lat : 44°02'35"N, lon : 7°35'09"E Records établis sur la période du 01-07-1989 au 04-01-2024
Tende est desservie par la ligne internationale Nice - Coni (gestion mixte SNCF et Ferrovie dello Stato Italiane, avec un embranchement vers Vintimille à Breil). Le matériel roulant est français sur le segment Nice - Breil, italien sur le trajet Vintimille - Breil et mixte sur le segment Breil - Tende - Coni.
Saint-Dalmas-de-Tende est desservie par des trains TER PACA qui effectuent des missions entre les gares de Nice-Ville et celle de Tende. Elle est également desservie par des trains italiens circulant entre Vintimille et Coni.
La communauté d'agglomération de la Riviera française définit et met en œuvre l’offre de transport public[24]. Le réseau de la Roya assure la liaison entre le littoral, depuis la Gare Routière de Menton, et les communes de la vallée de la Roya.
Au , Tende est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[25].
Elle est située hors unité urbaine[26] et hors attraction des villes[27],[28].
Le nom de la commune est Tenda en ligure/royasque et italien. Le mot « Tende » découlerait de « tente », allusion au campement établi à cet endroit par les troupes romaines[30].
La présence des vaudois est attestée dans les vallées de la Roya et de la Bévéra, notamment à Tende, ainsi que dans des villages situés de l’autre côté du col de Tende dès le XIIIe siècle. Ceux-ci prêchent une réforme de l’Église dans une région où nombre de superstitions, voire d’hérésies, fleurissent, et où les procès en sorcellerie sont courants[33]. Au XVIe siècle, ces protestants font de nombreux adeptes dans la haute vallée de la Roya, d'autant que Claude de Savoie (1507–1566), comte de Tende, fils d’Anne Lascaris et de René le Grand, Bâtard de Savoie, et son frère, Honoré II (1511–1580), comte de Villars, ont embrassé le parti huguenot. Les ducs de Savoie, convaincus de leur mission divine de défendre la religion catholique contre toutes les hérésies, entendent bien lutter contre la montée du protestantisme dans leur duché, mais se heurtent à Lesdiguières, capitaine protestant qui cherche à constituer un bloc homogène et ouvrir un passage vers la péninsule italique. La cession de Nice à la Savoie, effective en 1575, sonne toutefois l'heure de la répression et de l'étouffement progressif du protestantisme dans la vallée de la Roya[33].
Époque contemporaine
En 1860, les communes de Tende et de La Brigue situées en haute vallée ne furent pas comprises dans les territoires cédés à la France par le traité de Turin, malgré le vœu des populations exprimé par plébiscite. Napoléon III accepta de laisser au nouvel État italien ces communes, officiellement pour permettre au roi Victor-Emmanuel II de conserver ses territoires de chasse. En réalité, ce compromis garantissait à l'Italie le contrôle des crêtes auquel elle attachait une valeur stratégique[34].
En 1945, une fois les troupes nazi-fascistes retirées, Tende est libérée par les partisans italiens de la 5e brigade « Luigi Nuvoloni », pour être occupée le lendemain par le 29e régiment de tirailleurs algériens, chassant les formations partisanes antifascistes. Le même jour, un comité gaulliste entame une intense activité de propagande pour demander un plébiscite, d'ailleurs déjà organisé par les mêmes autorités à Paris, pour l'annexion de Tende et de Briga Marittima (successivement La Brigue) à la France.
L'occupation française de la Vallée de la Roya pour acquérir la ville par une annexion n'aboutit pas à la suite de la pression américaine. Mais après des tractations, et conformément aux accords fixés par le traité de paix de Paris du , ces territoires furent cédés par l'Italie. Ils passent sous souveraineté française par une loi du 16 septembre de la même année, puis un référendum confirme un mois plus tard la volonté des habitants de devenir Français.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1734. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[41].
En 2021, la commune comptait 2 021 habitants[Note 3], en évolution de −7,04 % par rapport à 2015 (Alpes-Maritimes : +1,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Tende possède une école maternelle[44] à Tende et à Saint Dalmas de Tende, une école primaire à Tende et à Saint Dalmas de Tende, un collège (à Saint-Dalmas-de-Tende)[45] , avec son propre ramassage scolaire.
Ancienne mine de galène. Depuis 1961, l'association Neige & Merveilles, à Saint Dalmas de Tende, a réutilisé les anciens bâtiments de la Minière de Vallauria pour y développer un centre d'hébergement et d'animations pédagogiques[51].
Commerces de proximité : deux boulangeries-pâtisseries (une à Tende, une à Saint-Dalmas), deux boucheries (une à Tende et une à Saint Dalmas de Tende).
La chapelle Saint-Sauveur de style roman, sa construction date du XIVe siècle. En 1982, un décor peint caché est découvert sous des badigeons. En 1988, une importante opération de sauvegarde est entreprise pour la sauver de la ruine. Elle est classée monument historique par arrêté du .
Le site de la vieille ville est sombre et sévère dans son environnement montagneux où les terrasses de culture montent très haut. Les demeures dont certaines datent du XVe siècle, sont souvent habillées des schistes verts et violets de la haute vallée de la Roya. Balcons à tous les étages pour profiter du soleil, larges toits débordants contre les chutes de neige, l'architecture est définie par le climat alpin. Dans le lacis des rues étroites, notamment de rue de France, ancienne Route Royale, des nombreux linteauxarmoriés ou historiés rappellent un passé glorieux. On voit, au passage, les clochersRenaissance des chapelles des Pénitents noirs et des Pénitents blancs.
La route spectaculaire du col de Tende et celles, pittoresques, de Granile et du vallon du Réfréi.
Le monument aux morts présente la particularité d'avoir été mis en place par l'Italie après la première Guerre mondiale et complété par la France après la Seconde Guerre mondiale. L'inscription portée sur la plaque visible face au monument se lit : "Il municipio di Tenda ai suoi figli gloriosamente caduti nella Grande Guerra 1915-1918" ("La commune de Tende à ses enfants tombés glorieusement pendant la Grande Guerre 1915-1918" - puisque l'Italie est entrée en guerre en 1915). L'inscription sur la plaque apposée sur une face latérale du monument se lit quant à elle : "La commune de Tende à ses fils glorieux tombés ou disparus au champ d'honneur 1939-1945"[69],[70].
La Villa Alpina[71], maison de Frédéric Mader de 1893, accueille la mairie.
La Maison Chianea, du XVIIe siècle, située rue de France.
La Porte d'Italie, porte médiévale en arc brisé, accolée à la chapelle de l'Annonciation.
Place du Traou et place du Ponte.
La porte de l'enceinte médiévale donnant sur la place Antoine Balarello.
Les grottes et gouffres nombreux dans le massif du Marguareis , (sur le territoire voisin de la commune de La Brigue) dont celui de Piaggia Bella, l'un des plus profonds du monde (-850 mètres), et la source de Fouige (145 m de développement)
Le parc national du Mercantour, biotope où la faune et la flore révèlent des espèces souvent rares ou endémiques, traversé par le GR52
Patrimoine culturel
Le Musée départemental des Merveilles de Tende[77] est incontournable, aussi bien du point de vue esthétique, avec les douze colonnes de sa façade ultramoderne (parvis tapissé de motifs rupestres), que d'un point de vue pédagogique, complément précieux de la randonnée autour du mont Bégo.
Les services de l'État, du Département et de la commune, conscients que les gravures rupestres de la vallée des Merveilles et de la région du Mont Bégo constituent un patrimoine archéologique exceptionnel qui doit être porté à la connaissance du public tout en étant impérativement préservé de toute dégradation humaine ont par ailleurs pris des mesures compte tenu de la très grande vulnérabilité de ces gravures et de la configuration des lieux.
La Direction régionale des Affaires culturelles (DRAC) de la région Povence-Alpes-Côte d'Azur et le Parc national du Mercantour ont à cet effet, depuis 1990, progressivement mis en place un dispositif de valorisation du site et de gestion de sa fréquentation. Les dispositifs de protection, de valorisation et de gestion de la fréquentation du site ont été pérennisés et renforcés à travers des conventions fixant le cadre général du partenariat entre le PNM et la DRAC[78]. Elle précise les conditions dans lesquelles la DRAC a mandaté le PNM pour la surveillance et la gestion des gravures rupestres des Vallées des Merveilles et de Fontanalba protégées au titre de la loi de 31 décembre 1913 sur les monuments historiques.
Écartelé : au 1er et au 4e de gueules à la croix d'argent, à la traverse de sable brochant sur le tout, au 2e et au 3e contre-écartelé : au 2e-1er, au 2e-4e, au 3e-2e et au 3e-3e d'or à l'aigle bicéphale de sable, aux autres, de gueules au chef d'or[79].
Détails
Les armoiries correspondent à la croix de Savoie, dont Tende est affilié de 1576 à 1861, ainsi qu'à celui des Lascaris de Vintimille. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Le colonel Maurice Guido, né le à Tende et mort le à Nice. Pilote de chasse dans l'armée française, il combat au sein du régiment Normandie Niemen pendant la Seconde Guerre mondiale. Tende lui a dédié dès 1946 l'ancienne place du Traou dans la vieille ville historique, près de sa maison familiale[80],[81].
Le capitaine Jean-Marie Auber, né le , est pilote de chasse au sein du groupe 1/4 « Navarre »[82]. Il est tué le quand son appareil s'écrase sur la route de Speggi, sur la commune de Tende[83], lors d'une attaque d'un P.C. allemand situé à Airole en Italie. Le capitaine Auber est le parrain de la base aérienne 943 de Nice.
Aimable Gastaud, l'âme du rattachement de Tende et La Brigue à la France[84].
Les artistes Gilbert Pignard, Françoise Massa, Raghid Dandachi, Anthony Carletto[85].
↑Thierry COUZIN Thierry, Passer par le XIXe s. Les frontières, le capitalisme et l’occident, Berne, Ed. Peter Lang., 2009. L’autre comté de Nice, Tende d’après l’inventaire du fonds Paesi de l’Archivio di Corte de Turin (XIIe – XVIIIe siècle). In Recherché régionale, 2009. No 193 : « Le 1er septembre 1574 s’engage une procédure de dépôt du château de Tende à l’initiative du comte Giacinto d’Urfé, mari de Renata, fille de Claude de Savoie comte de Tende, en hommage au seigneur de Beuil, gouverneur de Nice au nom du duc de Savoie, dès que le différend entre le susdit comte et le marquis de Villars serait réglé. Le 7 septembre 1574 est enregistré l’acte de dépôt d’Honoré de Savoie auprès du baron de Beuil, gouverneur de Nice, délégué par le duc de Savoie et le comte de Tende, afin d’en terminer avec le différend qui opposait, pour le dit comté, Honoré et le comte Giacinto d’Urfé, mari de Renata, fille de feu le comte Claude de Tende. Un document présentant les demandes et prétentions d’Honoré contre Renata de Savoie d’Urfé comtesse de Tende et son neveu sur le comté de Tende, Limone, Vernante, est déposé auprès du 1er président du parlement d’Aix-en-Provence. Le 14 septembre 1574 fut enregistré l’acte de rémission du château et autres places fortes du comté de Tende suivant la procédure de l’hommage de Giacinto d’Urfé dans les mains du baron de Beuil et gouverneur de Nice pour le duc de Savoie jusqu’à la fin du différend déposé par Honoré de Savoie. »
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Philippe de beauchamp, préface de Paul Raybaut, photographies Loïc-Jahan, L'architecture rurale des Alpes-maritimes, Aix-en-Provence, Édisud, , 140 p. (ISBN2-85744-612-8)
Le haut-pays - Vallées de la Roya et de la <bévéra, p. 31 Illustration du portail en schiste vert
Collectif (dir.), Le patrimoine des communes des Alpes-Maritimes en deux volumes, vol. II : Cantons de Menton à Villefranche-sur-Mer, Paris, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », , 574 p. (ISBN2-84234-071-X)
Canton de Tende : pp. 936 à 946 : Tende
Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et fortifications de la France au Moyen Âge, Strasbourg, éditions Publitotal, 1978, reprint 1991, 1288 p. (ISBN978-2-86535-070-4)
Une vision d’ensemble de l’architecture castrale. Tende : p. 1162
François Gaziello, Tende et la Brigue à la France. I. - Révolution et Empire (1794-1814), p. 22-24, Nice Historique 1948, no 119 Lire en ligne
Léo Imbert, Tende et la Brigue à la France. II. L'annexion manquée (1860), p. 25-28, Nice-Historique, année 1948, no 158, Lire en ligne
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Émile Isnard, Les derniers comtes de Tende, p. 20-21, Nice-Historique, 1948, no 172 Lire en ligne
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Philippe de Beauchamp, Photographies Loïc-Jahan, L'art religieux dans les Alpes-Maritimes, architecture religieuse, peintures murales et retables, Aix-en-Provence, Édisud, , 143 p. (ISBN2-85744-485-0)
Vallées de la Roya et de la Bévéra : Tende, L'église Notre-Dame-de-l-Assomption, pp. 35 à 36
Coordination générale : René Dinkel, Élisabeth Decugnière, Hortensia Gauthier, Marie-Christine Oculi. Rédaction des notices : CRMH : Martine Audibert-Bringer, Odile de Pierrefeu, Sylvie Réol. Direction régionale des antiquités préhistoriques (DRAP) : Gérard Sauzade. Direction régionale des antiquités historiques (DRAH) : Jean-Paul Jacob directeur, Armelle Guilcher, Mireille Pagni, Anne Roth-Congés Institut de recherche sur l'architecture antique (Maison de l'Orient et de la Méditerranée - IRAA)-Centre national de la recherche scientifique (CNRS), Suivez le guide : Monuments Historiques Provence Alpes Côte d’Azur, Marseille, Direction régionale des affaires culturelles et Conseil régional de Provence – Alpes - Côte d’Azur (Office Régional de la Culture), 1er trimestre 1986, 198 p. (ISBN978-2-906035-00-3 et 2-906035-00-9)
Guide présentant l'histoire des monuments historiques ouverts au public en Provence – Alpes – Côte - d'Azur, avec cartes thématiques (traduit en allemand et anglais en septembre 1988). Tende, p. 77
Association Saint Jean le Vieux, Peintures murales décors peints, Vallées de la Bévéra et de la Roya, Alpes-Maritimes, Association Saint Jean le Vieux, 18 p.
* Sospel; *Breil-sur-Roya; *Saorge; *La Brigue; *Tende; *Les peintures murales et les décors peints dans les vallées de la Roya et de la Bévéra; *Technique de la peinture murale
Articles consacrés au Village de Tende, sur www.archeo-alpi-maritimi.com : * Cotta Giambattista; * datations gothiques gravées; * gibets piloris potences; * inscriptions pathétiques et maximes; jhs avec entrelacement; * le Comté de Nice en 1850; * lions stylophores; * mythe de la sirène; * mythe de la spirale; * Murs et linteaux; * Nice Tende en 1792 selon Mariana Starke; * Maison de la C à Tende; Nice Tende 1736; * prémices du tunnel de Tende; * Tende suivant casalis; * Travaux du tunnel de tende 1878, selon le lieutenant colonel Wagner
Le patrimoine architectural, archéologique et mobilier de la commune de Tende sur le site du ministère français de la Culture (base architecture et patrimoine), photographies de Marc Heller, Jean Gilletta, service des Archives photographiques, Gérard Roucaute, Jean Marx, Françoise Thurel, Sylvie Réol, André d'Anna, Henri de Lumley, Yves Paquier, Henri Geist, Henri Pellegrini, Xavier Delestre, Christian Hussy, Jacques Jaubert, Roland Dufrenne, Henri Geist, Hélène Barge-Mahieu, ministère de la Culture (France), médiathèque de l'Architecture et du Patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service de l'Inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la région PACA