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dans la comptabilité nationale, il s'agit de comparer l'excédent brut d'exploitation à la valeur ajoutée (la différence en valeur de la production vendue et de la consommation intermédiaire) ;
en finance d'entreprise, il s'agit de comparer un gain (ou une perte) à un chiffre d'affaires.
Attention, une source de confusion supplémentaire existe, car le taux de marque se traduit en anglais par margin rate, alors que le taux de marge dont il est question ici se traduit en anglais par markup rate[1]. Afin d'éviter toute confusion, il peut être plus simple de parler de marge sur prix[réf. nécessaire] (marque) et de marge sur coût[réf. nécessaire] (marge).
L'évolution des taux de marge doit être analysée avec précaution : une dégradation est souvent présentée comme la conséquence d'un coût du travail trop élevé provoquant une perte de compétitivité économique, mais une analyse plus fine peut trouver d'autres causes, comme une baisse des prix de vente due à une concurrence accrue ou à une politique promotionnelle ou une dégradation de la demande[3].
Le coût d'achat des marchandises vendues est calculé en prenant le compte « 607 - achat de marchandises - », auquel on retranche le compte « 6097 - RRR : rabais, remises et ristournes obtenus sur achat de marchandises - », et auquel on retire (si stockage, donc variation des stocks positive) ou ajoute (si déstockage, donc variation des stocks négative) la variation des stocks de marchandises.
Par exemple, si un magasin achète une marchandise 4 €, puis la revend 5 €, alors son taux de marge est de ((5 - 4) / 4), soit 25 %.
Attention à la confusion courante entre taux de marges et taux de marques (le taux de marque se calculant par le ratio marge/CA).