Télimélé
Télimélé est une ville de la république de Guinée. Située à l'ouest du pays, c'est le chef-lieu de la préfecture de Télimélé dans la région de Kindia. HistoireGéographieTélimélé est établie sur les contreforts occidentaux du Fouta Djallon, entre Pita et Boké[1]. PopulationEn 1959 Télimélé n'est encore qu'un petit village, mais dès 1967 c'est un chef-lieu de préfecture qui compte 12 000 habitants[1]. À partir d'une extrapolation du recensement de 2020 (INS), la population de Télimélé a été estimée à 339 969[2] en 2020[3]. Climat et végétationTélimélé possède un climat de savane avec hiver sec (Aw) selon la classification de Köppen-Geiger. Les précipitations à Télimélé sont beaucoup plus importantes en été qu'elles ne le sont en hiver. Sur l'année, la température moyenne à Télimélé est de 27.3°C et les précipitations sont en moyenne de 1429.8 mm. A titre de comparaison à Conakry, la température moyenne annuelle est de 27.3°C et les précipitations sont en moyenne de 1429.8 mm. Les meilleurs mois pour visiter Télimélé sont Janvier Février Mars Avril Mai Octobre Novembre Décembre. InfrastructureTélimélé abrite les deux plus grands barrages électriques de la Guinée notamment le barrage de Kaléta et de Souapiti. Subdivision administrative de la villeÉducationElle regroupe également plusieurs possibilités d'éducation. Il existe plusieurs écoles primaires et secondaires. la ville dispose d'une institut de santé (Institut International de Santé de Télimélé) Avec l'action de L’UNICEF pour chaque enfant, l'éducation des filles de Télimélé s’améliore de plus en plus[4]. SantéSportLes activités sportives y sont plus ou moins pratiquées et développées. La ville est représentée au sein de la Ligue 1 de Football, le championnat phare du pays par Le Loubha FC. Personnalités liées à la villeMédiasLa ville de Télimélé est dotée d'une station de radio publique et Radio rurale de Télimélé]). TransportsLe transport étant moyen développé dans la ville de Télimélé mais néanmoins existant dans la grande ville et quelques villages environnantes. Notes et références
|
Portal di Ensiklopedia Dunia