Albert meurt dans un accident de voiture à Cape Cod en .
Prix et récompenses
Stephen Albert gagna le Prix Pulitzer de la musique en 1985 pour sa symphonie RiverRun. Il gagna un Grammy Award en 1995 dans la catégorie Best Classical Contemporary Composition pour le Concerto pour violoncelle interprété par Yo-Yo Ma.
Le mouvement lent, noyau émotionnel de la seconde symphonie (1993) de Christopher Rouse, est dédié à la mémoire Stephen Albert, qui était un collègue et ami proche de Rouse. La pièce a été enregistrée sur TELARC CD-80452, publié en 1997.
Œuvres
Musique orchestrale
Into Eclipse (version de chambre avec voix) (1981) - 30 minutes
Symphonie no 1 RiverRun (1983) - 33 minutes
Anthems and Processionals (1988) - 16 minutes
Tapioca Pudding (1991) - 2 minutes
Symphonie no 2 (1992) - 30 minutes (orchestration terminée par Sebastian Currier)
Pièces concertantes
Wolf Time (1968) - 20 minutes
Into Eclipse (version pour orchestre avec voix) (1981) - 30 minutes
In Concordiam (1986) - 17 minutes
Distant Hills (version pour orchestre) (1989) - 31 minutes (Flower of the Mountain (1985, 16 minutes) et Sun’s Heat (1989, 15 minutes)
Concerto pour violoncelle et orchestre (1990) - 30 minutes
Wind Canticle (1991) - 14 minutes
Pièces pour grand ensemble (7 joueurs ou plus)
TreeStone (1983) - 45 minutes
Distant Hills (version de chambre) (1989) - 31 minutes (Flower of the Mountain (1985, 16 minutes et Sun’s Heat (1989, 15 minutes)
Musique de chambre
Tribute (1988) - 9 minutes
Musique chorale et vocale
Wedding Songs (1964) - 10 minutes
Bacchae: A Ceremony in Music (1967) - 8 minutes
To Wake the Dead (1977) - 25 minutes
The Stone Harp (1988) - 14 minutes
Rilke Song - On Nights Like This (1991) - 5 minutes
↑ a et b(en) Don Michael, ed. Randel, The Harvard biographical dictionary of music, Cambridge, Mass., Belknap Press of Harvard Univ. Press, , 11 p. (ISBN0-674-37299-9), « Albert, Stephen (Joel) »
↑(en) Who Was Who in America, 1993-1996, vol. 11, New Providence, N.J., Marquis Who's Who, , 303 p. (ISBN0-8379-0225-8), « Albert, Stephen Joel », p. 3