L'activité de Charbonnage est séparée de celle de la métallurgie en 1906 et cédée à la SA des Charbonnages de Marcinelle-Nord. Les autres activités (constructions métalliques et de locomotives) assurés par les UMH.
Le capital de 4,5 millions est majoritairement français (2 365 000F) avec pour principaux actionnaires [3]:
Marie-Thérèse Bitsch, La Belgique entre la France et l'Allemagne 1905-1914, Paris, Publications de la Sorbonne, coll. « Histoire de la France aux XIXe et XXe siècles » (no 48), , 574 p. (ISBN2-85944-239-1, lire en ligne).
Jean-Louis Delaet, « L'épopée industrielle du pays de Charleroi : grandeur et vicissitudes », dans Charleroi 1666-2016 : 350 ans d'histoire des hommes, des techniques et des idées (Actes de colloque, Charleroi, 23 et 24 septembre 2016), Bruxelles, Académie royale de Belgique, coll. « Mémoires de la Classe des Lettres / IV-XV » (no 2115), , 416 p. (ISBN978-2-8031-0573-1), p. 53-86.
Jean-Louis Delaet, « L'âge d'or industriel du pays de Charleroi », dans Charleroi 1911-2011 : L'industrie s'associe à la culture, , 564 p. (ISBN978-2-87522-075-2), p. 214-237.