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Simone Susskind Pour les articles homonymes, voir Susskind.   Cet article est une ébauche concernant une femme politique belge. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants. Simone Susskind 
La baronne Simone Weinberger, veuve de David Susskind, née le à Bruxelles, est une femme politique belge bruxelloise francophone, membre du Parti socialiste. Elle est également secrétaire générale puis présidente du CCLJ de 1980 à 1996. BiographieElle est licenciée en sciences sociales et candidate en sciences économiques (ULB) ; sociologue; membre du CA de la RTBF (1992-96). Elle fut présidente du Centre communautaire laïc juif (1985-1995); Femme de l’Année en 1991; présidente-fondatrice des Actions in the Mediterranean pour le dialogue entre Israël et les Palestiniens ainsi que judéo-arabe en Belgique ; militante de la paix entre Israéliens et Palestiniens, des droits des femmes et des droits de l’Homme ; vice-présidente du projet Music Fund, qui promeut la coopération dans le domaine de l'enseignement de la musique et a pour but de collecter des instruments de musique pour les distribuer aux jeunes dans des pays en conflit ; membre du bureau du Parti socialiste belge depuis 2000; membre (2004) du cabinet de Laurette Onkelinx, vice première ministre et ministre de la Justice belge. En 2009, elle milite et organise au côté de Pierre Galand, une manifestation qui visait à promouvoir des sanctions européenne contre Israël à et indirectement à appuyer les demandes de condamnations des dirigeants israéliens [1]. Selon son opinion, « le conflit israélo-palestinien est comme un cancer purulent qui va continuer à faire que le Moyen-Orient soit en flamme »[2]. Susskind, milite avec Leila Shahid — cette dernière qui avait soutenu sa candidature du parti socialiste auparavant — «...pour faire cesser cette situation qui est devenue intolérable, ...entre un peuple qui opprime un autre » et déclare : « il faut refuser de contribuer à la colonisation et à l’occupation, de quelque manière que ce soit, et d’abord en frappant « là où ça fait mal », c’est-à-dire la dimension économique [des colonies »[3] Distinctions
Carrière politique
Notes et références
Liens externes |
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