Servantes de Marie Réparatrices
Les Servantes de Marie Réparatrices (en latin : Congregationis Servarum Mariae Reparatricum) sont une congrégation religieuse féminine enseignante et caritative de droit pontifical. HistoireEn 1892, Marie Élise Andreoli et trois compagnes commencent à accueillir et à aider les orphelins de la ville. Le 9 juillet 1899, elles sont admises dans le Tiers-Ordre des Servites de Marie et font leur profession religieuse le 12 juillet 1900 à Vidor. Le 31 mars 1903, la congrégation est reconnue de droit diocésain sous le nom de Servantes de Marie par Antonio Polin, évêque d'Adria. Elles sont agrégées le 19 janvier 1910 à l'Ordre des Servites de Marie ; l'œuvre est transférée à Rovigo l'année suivante[1]. En 1911, Marie Dolores Inglese, fervente adepte de la réparation mariale, rentre dans l'institut et convainc la fondatrice d'adopter cette dévotion[2]. Le 8 décembre 1913, Luigi Pellizzo, évêque de Padoue, approuve leurs constitutions religieuses inspirées des Servites de Marie et sous la règle de saint Augustin[1]. Il approuve également la réparation mariale et ajoute le titre de Réparatrices aux Servantes de Marie[3]. L'institut reçoit le décret de louange le 24 mars 1931 ; il est définitivement approuvé par le Saint-Siège le 17 juin 1941[1]. Activités et diffusionLes Servantes de Marie Réparatrices se consacrent à l'enseignement et à diverses activités selon les besoins où elles vivent. Elles sont présentes en[4]:
La maison-mère est à Rome. En 2017, la congrégation comptait 309 sœurs dans 56 maisons[5]. Notes et références
Liens externes
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