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Le Salegy, prononcé /sa.lɛɡ/[1], est un rythme typique de Madagascar. Démocratisé entre autres par Eusèbe Jaojoby, on le retrouve dans beaucoup de styles de musiques, du nord au sud. Jaojoby est sans aucun doute son interprète le plus renommé aussi bien à Madagascar que dans le monde entier.
Il est caractérisé par une signature rythmique 6/8 dont le pulse est variable selon les régions de l'île.
Au nord de Madagascar et Mayotte, le salegy est souvent accompagné d'un rythme à mains nues appelé rombo manofo [ʁwmb manwf], d'un chants responsoriaux puissants et declamatoires et d'une danse faite par les femmes appelée mbiwy.
Origine
Le salegy, une musique liée aux us et coutumes malgache est né au quinzième siècle, soit à l'aube du peuplement malgache.Il est utilisé par les sakalava et tsimihety dans les rites de possession lour demander faveur aux dieux [2]
Le salegy est une forme d'expression traditionnelle originaire du monde rural.Un chant polyphonique accompagné de percussions, du valiha, du kabosy et d'accordéon présent à Madagascar dès XIX e siècle. Il a été modernisé depuis1959, car on a pu le trouvé au verso de la pochette 45tours.
Modernisation
Les jeunes artistes comme wawa et Aly Mourad modernisent le salegy en réduisant le son des guitares et en augmentant le son de tempo.Quant à Tence Mena et Vaiavy Chila, elles fusionnent les sons classiques et les sons high tech[3]