Saint-Pompon

Saint-Pompon
Saint-Pompon
La mairie de Saint-Pompon.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes de Domme-Villefranche du Périgord
Maire
Mandat
Carole Henry
2020-2026
Code postal 24170
Code commune 24488
Démographie
Gentilé Saint-Pomponnais
Population
municipale
353 hab. (2021 en évolution de −15,35 % par rapport à 2015)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 43′ 38″ nord, 1° 08′ 52″ est
Altitude Min. 110 m
Max. 334 m
Superficie 27,40 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée Dordogne
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Saint-Pompon

Saint-Pompon (avant le , orthographiée Saint-Pompont[1]), est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

Généralités

Commune située dans le Périgord en limite du Quercy sur la Lousse à 5 km de Daglan, 23 km de Sarlat-la-Canéda.

Communes limitrophes

Saint-Pompon est limitrophe de cinq autres communes. Au sud-est, son territoire est distant d'environ 350 mètres de celui de Marminiac (dans le Lot) et au sud-ouest de 380 mètres de celui de Prats-du-Périgord.


Communes limitrophes de Saint-Pompon
Saint-Laurent-la-Vallée Daglan
Doissat Saint-Pompon
Besse Campagnac-lès-Quercy

Géologie et relief

Géologie

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Pompon est située dans le deuxième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de roches calcaires très dures du Jurassique que la mer a déposées par sédimentation chimique carbonatée, en bancs épais et massifs[2]. Elle est dans le causse de Daglan, au sud-ouest autour de Daglan, entre Saint-Cyprien, Domme et Villefranche-du-Périgord, vaste ensemble éclaté présentant de nombreux faciès calcaires, constitués principalement de pelouses sèches, de steppes, et de forêts perdant leurs feuilles en hiver.

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée j6-7, date du Kimméridgien terminal au Tithonien, composée de calcaires micritiques en petits bancs alternant avec des bancs marneux à lumachelles. La formation la plus récente, notée Eg, fait partie des formations superficielles de type grèze ou colluvions fluvio-glaciaires calcaires cimentées. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 832 - Gourdon » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[3],[4] et sa notice associée[5].

Carte géologique de Saint-Pompon.

Relief et paysages

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 110 mètres et 334 mètres[6],[7].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[9]. La commune fait partie du Périgord noir, un paysage vallonné et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallées-couloirs et d’une multitude de clairières de toutes tailles. Il s'étend du nord de la Vézère au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[10].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 27,40 km2[6],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 28,13 km2[4].

Hydrographie

Réseau hydrographique

La commune est située pour partie dans le bassin de la Dordogne et pour partie dans le bassin de la Garonne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Lousse, le ruisseau de Mandalou, le Merdalou, le Lécadou et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 18 km de longueur totale[15],[Carte 1].

La Lousse, affluent du Céou et sous-affluent de la Dordogne, prend sa source dans le sud de la commune et la traverse sur près de six kilomètres et demi vers le nord-est, passant au sud du bourg.

Le ruisseau de Mandalou arrose le nord du territoire communal sur deux kilomètres et se jette dans la Lousse au sud du bourg, après avoir traversé celui-ci.

Son affluent le Merdalou baigne la commune sur deux kilomètres, lui servant de limite naturelle sur près d'un kilomètre en deux tronçons, face à Doissat et Saint-Laurent-la-Vallée.

Affluent du Merdalou, le Lécadou borde le territoire communal à l'ouest sur près de 200 mètres, face à Saint-Laurent-la-Vallée.

Gestion et qualité des eaux

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont ». Ce document de planification, dont le territoire s'étend des sources de la Dordogne jusqu'à la confluence de la Vézère à Limeuil, d'une superficie de 9 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[16]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [17].

La quasi-totalité du territoire communal, se situant dans le bassin versant du Céou, dépend du SAGE Dordogne amont. Une frange sud de la commune, en limite de Besse, fait partie du bassin de la Lémance qui en 2022 de dépend d'aucun SAGE.

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[18]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[19].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 906 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[20]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pays de Belvès à 13 km à vol d'oiseau[21], est de 13,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 888,2 mm[22],[23]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[24].

Urbanisme

Typologie

Au , Saint-Pompon est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[25]. Elle est située hors unité urbaine[26] et hors attraction des villes[27],[28].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (67,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,2 %), zones agricoles hétérogènes (22,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11,7 %), prairies (7,2 %), zones urbanisées (1,3 %)[29]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Prévention des risques

Le territoire de la commune de Saint-Pompon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[30]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[31].

Saint-Pompon est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[32]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[33],[34].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Pompon.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[35]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[36]. 56,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[37].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1996 et 1999, par la sécheresse en 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[30].

Toponymie

Le nom de Saint-Pompon fait référence au martyr Pomponius[38], évêque de Naples au VIe siècle[39]. La lettre « t » finale du nom officiel de la commune est une assimilation erronée avec le mot « pont »[38].

En occitan, la commune porte le nom de Sent Plemponh[40].

Jusqu'au , le nom officiel de la commune était Saint-Pompont[26]. À la suite du décret no 2023-1386 du portant changement du nom de communes[41], la commune est graphiée Saint-Pompon, conformément à l'orthographe utilisée localement.

Histoire

Préhistoire

Des vestiges magdaléniens ont été découverts dans les grottes (privées) situées sous le château de Castelviel dominant la vallée de la Lousse.

Période gallo-romaine

À l'époque gauloise, la commune faisait partie du territoire des Pétrocores. Un tumulus au lieu-dit « le Castella » ((oc) lo Castelàs) et quelques autres sites archéologiques en témoignent. Lors de la conquête romaine, Saint-Pompon devient un lieu de passage reliant Cahors à Périgueux. Cette voie romaine dite « Chemin des Anglais » ((oc) lo Camin deus Anglés) située sur les coteaux calcaires a été endommagée par des ravinements naturels. La présence d'un poste de guet dit « la Cabane des Gaulois » surplombant le bourg et d'un mur de soutènement bâti avec d'énormes blocs de calcaire en sont les derniers vestiges visibles.

La première mention écrite connue du lieu apparaît, non datée, sous la forme Sen Pomponctprécédant le libellé Hospitalis de Sancto Pomponio en 1269[38].

À partir du XIVe siècle

Au XIVe siècle, la guerre de Cent Ans entraîna la fortification du bourg grâce aux Anglais. Aujourd'hui, il en reste une porte recouverte de mâchicoulis. Le château actuel datant du XIIIe siècle a conservé sa grosse tour et un chemin de ronde encore bien visible. Plus à l'ouest, sur une colline dominant un étroit vallon où se forme et serpente le Mandalou, le château du Mespoulet (privé) est qualifié de repaire noble (XVIIIe siècle). Tout comme les villages de la vallée du Céou, Saint-Pompon a subi de plein fouet les guerres de religion, d'autant plus que la route royale traversait la localité.

Aux portes du XXIe siècle

Saint-Pompon est une petite commune rurale pleine de vie, située un peu à l'écart des grands axes touristiques des vallées de la Dordogne et du Céou. Ce bourg frontière prouve son dynamisme par son aménagement coquet, ses commerces, ses structures d'accueil sociales et touristiques. C'est un appel à la flânerie que ce dédale de ruelles où l'on découvre autour de l'église et du château, des maisons riches d'une grande diversité architecturale. Sur les chemins d'hier et d'aujourd'hui, le promeneur peut contempler les hameaux et maisons nobles, et son regard peut se perdre vers des horizons des plus étendus.

Politique et administration

Rattachements administratifs

En 1790, la commune de Saint-Pompont a été rattachée au canton de Daglan, qui dépendait du district de Sarlat jusqu'en 1795, lors de la suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Domme, dépendant de l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)[6].

Intercommunalité

Fin 1997, Saint-Pompont intègre dès sa création la communauté de communes du Canton de Domme. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes de Domme-Villefranche du Périgord.

Administration municipale

La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[42],[43].

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1937 1971 Fernand Buffard    
1971 1989 Pierre Bouyssou    
1989 2008 Christian Cramaregeas    
mars 2008 juillet 2020 Thomas Michel SE[44] Infirmier
Président de la CC de Domme-Villefranche du Périgord (2014-2017)
juillet 2020 En cours Carole Henry    

Équipements et services publics

Justice

En 2023, dans le domaine judiciaire, Saint-Pompon relève[45] :

Population et société

Démographie

Les habitants de Saint-Pompon se nomment les Saint-Pomponnais[46].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[48].

En 2021, la commune comptait 353 habitants[Note 5], en évolution de −15,35 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2001 1631 2561 2601 1801 3141 3221 3761 348
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4031 2661 3411 3141 3321 3501 3291 2291 130
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0521 046929780722676699630591
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
536516506521452405426429431
2017 2021 - - - - - - -
372353-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[49].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Emploi

En 2015[50], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 151 personnes, soit 36,2 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt) a légèrement augmenté par rapport à 2010 (dix-neuf) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 13,4 %.

Établissements

Au , la commune compte soixante établissements[51], dont trente-trois au niveau des commerces, transports ou services, treize dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, sept dans l'industrie, quatre dans la construction, et trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[52].

Entreprises

Dans le secteur du commerce, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, les « Établissements Bouyssou » (commerce de gros interentreprises de céréales, de tabac non manufacturé, de semences et d'aliments pour le bétail) implantés à Saint-Pompon se classent en 41e position quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 15 989 k€[53].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

  • Herdin Radtke peintre.
  • Carine Van Steen (Mérite agricole)
  • Norbert Koreman (éditeur cilinaire saisonnier et écrivain)
  • Herbert Robbrecht (chef étoilé belge)

Pour approfondir

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Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
  3. La ligne de partage des eaux entre le bassin de la Dordogne et le bassin de la Garonne est représentée par une ligne verte en tirets-points.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Saint-Pompont » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

  1. Décret no 2023-1386 du 22 décembre 2023 portant changement du nom de communes
  2. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  3. « Carte géologique de Saint-Pompont » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  4. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Saint-Pompont », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  5. « Notice associée à la feuille no 832 - Gourdon de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  6. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Portrait du Périgord noir », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Saint-Pompont », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  15. « Fiche communale de Saint-Pompont », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  16. « SAGE Dordogne amont », sur gesteau.fr (consulté le ).
  17. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  19. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  20. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  24. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  25. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
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  29. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  30. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Pompont », sur Géorisques (consulté le ).
  31. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  32. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  33. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consulté le ).
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  35. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
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  41. Décret no 2023-1386 du portant changement du nom de communes
  42. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 13 septembre 2020.
  43. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 25 novembre 2020.
  44. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 7.
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