Le séisme est probablement responsable de l'échec du projet de reconstruction du temple de Jérusalem autorisé par l'empereur Julien[5].
Dans la ville de Pétra, en actuelle Jordanie, de nombreux bâtiments sont détruits[6]. Des édifices importants, comme le grand théâtre, les temples (dont le Qasr al-Bint) et la rue à colonnades, sont sévèrement endommagés[6]. Le système de distribution des eaux est paralysé[6],[7]. Cyrille, alors évêque de Jérusalem, rapporte que « près de la moitié » de la ville a été détruite par une secousse « à la troisième heure, puis une autre à la neuvième heure de la nuit »[6].
Notes et références
↑(en) Matthieu Ferry, Mustapha Meghraoui, Najib Abou Karaki, Masdouq Al-Taj et Lutfi Khalil, « Episodic behavior of the Jordan Valley section of the Dead Sea fault inferred from a 14-ka-long integrated catalog of large earthquakes », Seismological Society of America, vol. 101, no 1, , p. 48 (DOI10.1785/0120100097, lire en ligne).
↑(en) Zeev Safrai, Missing Century : Palestine in the Fifth Century : Growth and Decline, Peeters Publishers, , 220 p. (ISBN978-90-6831-985-9, lire en ligne), p. 86–7.
↑(en) Mohamed Reda Sbeinati, Ryad Darawcheh et Mikhail Mouty, « The historical earthquakes of Syria – an analysis of large and moderate earthquakes from 1365 B.C. to 1900 A.D. », Istituto Nazionale di Geofisica e Vulcanologia, vol. 48, no 3, , p. 407 (lire en ligne).
↑(en) Eric M. Meyers, James F. Strange et Carol L. Meyers, « Second Preliminary Report on the 1981 Excavations at en-Nabratein, Israel », American Schools of Oriental Research, no 246, , p. 35–54 (lire en ligne).
(en) Tina M. Niemi, Paleoseismology and archaeoseismology of sites in Aqaba and Petra, Jordan : Field guidebook, Geological Survey of Israel, (lire en ligne [archive du ]), p. 119–124.