Nos 9 et 45 : au XIXe siècle, deux restaurants Bouillon Duval s'y trouvaient.
No 36 : c'est là qu'habitait un dénommé Vilaret qui logeait en 1885[5] l'artiste peintre Maurice Bompard (1857-1936).
No 34 : ici se trouvait dans les années 2000 une plaque commémorative fantaisiste : « Pierre SALATIER / Programmeur / EST NE DANS CET IMMEUBLE / le 12 novembre 1976 »[6].
No 39 : hôtel Le Chariot d'or. Une plaque ancienne sur la façade indique : « Le Chariot d'or, fondé au XIVe siècle ». L’immeuble occupe l’emplacement d’une auberge appelée Le Chariot d’or et de son écurie. Sa façade principale était rue Greneta[7].
No 44 : lieu de l’ancien siège du journal Charlie Hebdo.
No 57 : immeuble de 1859 dont la façade est ornée de la plus haute cariatide de Paris. Cet ange haut de trois étages est sculpté d'après un dessin d'Auguste Émile Delange, réalisé en 1851, à l'occasion d'un concours aux Beaux-Arts dont le thème était de proposer un phare en hommage au physicien Augustin Fresnel, inventeur de la lentille à échelons[8],[1].
No 64 : en 1860 s'y trouve le magasin de nouveautés Le Palais de la Mode[1].
No 70 bis : à l'origine école municipale de dessin Germain-Pilon puis collège technique des métiers de la chaussure[1]. De nos jours lycée professionnel Abbé-Grégoire.
↑Adolphe Alphand (dir.), Adrien Deville et Émile Hochereau, Ville de Paris : recueil des lettres patentes, ordonnances royales, décrets et arrêtés préfectoraux concernant les voies publiques, Paris, Imprimerie nouvelle (association ouvrière), (lire en ligne), « Décret du 29 septembre 1854 », p. 286.
↑Charles Virmaître (1835-1903), Paris oublié, (lire en ligne)