Le quartier est desservi par la ligne 2 à la station Victor Hugo.
Côté rue de la Pompe, sur l'autre trottoir, une autre voie privée, la rue de l'Amiral-Courbet, est située dans son prolongement.
Origine du nom
Elle porte le nom de Félicie Dosne (1823-1906), belle-sœur d'Adolphe Thiers et propriétaire du terrain sur lequel cette rue fut ouverte[1],[2]. Dans son testament, elle a souhaité que soit créée une maison de retraite destinée aux vieilles dames sans fortune ou veuves d’officiers. La Fondation Dosne porte le nom de « Retraite Dosne » et s'installe au 5 ter de la rue éponyme. Elle est reconnue d'utilité publique le . Cette rue est une association syndicale libre, le Syndicat de la rue Dosne. Elle est désormais fermée et n'appartient plus à la Ville de Paris. La rue comprend 13 parcelles[3].
Historique
Cette voie privée est ouverte sous sa dénomination actuelle en 1827[1].
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
No 3 : hôtel particulier qui a appartenu au président gabonais Omar Bongo et sa famille, soupçonné par la justice française d'être un bien mal acquis[4],[5],[6].
No 5 : maison de retraite Dosne, gérée par la fondation Dosne depuis 1906. Historiquement féminine, elle est devenue mixte[7]. En 2019, elle fait l'objet d'un documentaire de Marion Lippmann diffusé sur LCP, Les Belles Dames[8].
No 9 : la peintre Marthe Le Vavasseur (1878-1958) y habite vers 1945.