La route nationale traverse des régions enclavées de l'Est du pays, dont certains tronçons étaient peu praticables. Route intégralement en latérite, un financement de la Banque islamique de développement (96%) et de l'État burkinabè (4%) de 31,613 milliards de francs CFA (soit environ 48 millions d'euros), permet de la bitumer sur pratiquement l'ensemble de son tracé entre et 2020[1].