Avant son trépas, Roger Delage participa à une rédaction importante du requiem de Gabriel Fauré, dirigée par Jean-Michel Nectoux. Il s'agit de l'édition critique de la version d'orchestre de chambre, complétée par le compositeur en 1893.
En 2000, il est lauréat du Prix des Muses pour sa biographie sur Emmanuel Chabrier (parue en 1999 chez Fayard)[4].
André Campra : Oratorio de Noël ; PS CXXV "in convertendo Dominus" ; motet à grand chœur et symphonie ; Edith Selig(en), Sopr. ; Éric Tappy, Tén. ; Jacques Herbillon, Bar. ; Marc Schaeffer, org. ; Ensemble vocal du Conservatoire, Strasbourg ; R. Gillot, chef de chœur ; Collegium musicum de Strasbourg ; Roger Delage, dir., Disques A Charlin, 1965[7]
Concert au château des Rohan à Strasbourg / Schoenfeld, Harst, Brossard… [et al.], comp. ; Edith Selig, S ; Huguette Dreyfus, clav. ; Collegium musicum de Strasbourg ; Roger Delage, dir. Disques Erato – STU 70 324 (1966)[8]
Une éducation manquée d'Emmanuel Chabrier, avec Mireille Delunsch (Gontran de Boismassif), Brigitte Desnoues (Hélène de La Cerisaie), S ; Jean-Louis Georgel, BAR (maître Pausanias) — Fisch-Ton-Kan d'Emmanuel Chabrier, avec Mireille Delunsch (Gougouly) ; Christian Mehn (Fisch-Ton-Kan) ; Francis Dudziak (Kakao), Jean-Louis Georgel (Poussah) — Vaucochard et Fils Ier d'Emmanuel Chabrier ; Brigitte Desnoues (Aglaé), Mireille Delunsch (Douyoudou), Jean-Louis Georgel (Médéric), Francis Dudziak (Vaucochard) ; Ensemble vocal et Florent Stroesser (chef de chœur), Orchestre du Collegium musicum de Strasbourg sous la direction de Roger Delage, CD Disques Arion P 2010.
Wolfgang Amadeus Mozart, Sonates d'église par Georges Guillard (orgue), Collegium musicum de Strasbourg sous la direction de Roger Delage. Disques Arion.