À l'issue de la Première Guerre mondiale, il produit un portfolio, Les misères de la Guerre, regroupant des dessins figurant des visages mutilés de soldats : il avait été chargé de ce travail afin d'aider les chirurgiens de la face opérant au service de santé des Armées[3].
Au début de l'année 1929, il doit exécuter les costumes pour un film intitulé Les Croisés, réalisé par Dimitri Kirsanoff ; la production en a été suspendue[4].
Frontispice pour Miracles de Jean Richepin, collection « Pages de guerre », Paris, La Maison du livre, 1915.
Gustave Hirschfeld, Une école de rééducation professionnelle des grands blessés de guerre. Tourvielle ; précédé de L'Organisation d'une école de blessés, Paris, Berger-Levrault / Lyon, A. Rey, 1917 ; avec neuf dessins.
Œdipe roi, de Sophocle, chez Veuve Romagnol, en 1922[7] (300 exemplaires).
Thaïs, d'Anatole France, chez Plicque, en 1924 (781 exemplaires).