Docteur en gestion et finance (option finances locales) à l'université de New York aux États-Unis, il avait poursuivi ses études supérieures à l'université Mohammed V à Rabat.
Vie professionnelle
Expert international, à New-York, en décentralisation et en système financier local auprès des agences et banques donatrices, il a créé et géré des sociétés d'investissement à Casablanca et à Tétouan.
Il a par ailleurs contribué à la réalisation de plusieurs études et présenté des services au profit des collectivités locales pour le renforcement de leurs capacités de gestion de la chose locale, au niveau national en particulier et au profit d'un ensemble de pays africains en général.
Dans ce cadre, il a assuré la responsabilité de la reconstruction des infrastructures dans les territoires palestiniens occupés et la fonction d'expert auprès de plusieurs bureaux d'études internationaux dont le dernier est le bureau de recherches et d'études relevant de l'université de Caroline du Nord aux États-Unis.
Vie politique
En 1992, membre puis vice-président de la commune urbaine de Sid El Mandri à Tétouan.
Il avait assuré les fonctions de membre de la communauté urbaine de Tétouan et la présidence de la commission des finances et du budget au sein de la commune et de la communauté.
Il est depuis 1 992 membres de la chambre de commerce, d'industrie et des services de Tétouan et depuis 1 997 membres de l'assemblée provinciale de Tétouan.
Membre de l'Association internationale de la planification stratégique pour la lutte contre la pauvreté dans le secteur urbain, il a été élu durant le troisième congrès national du Rassemblement national des indépendants (RNI), tenu en 2001, membre de la commission centrale du parti et occupe depuis 1996 la fonction de coordonnateur du parti dans la province de Tétouan.
Rachid Talbi el-Alami a été condamné à 3 mois de prison avec sursis par la cour d’appel de Tétouan en 1994 pour avoir émis des chèques sans provision. Il n'a pas été déchu de ses droits civiques ni déclaré inéligible par la justice Marocaine. Il a payé sa dette à l'égard de la société. Mais il n'a jamais rembourser les montant détournés a l'état marocain[4].