Rachid Hamatou

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Rachid Hamatou
Description de cette image, également commentée ci-après
Rachid Hamatou avec un Canon
Alias
Syphax[1]
Naissance (64 ans)
El Madher Drapeau de l'Algérie Algérie
Activité principale
Auteur
Langue d’écriture Français
Genres
Signature de Rachid Hamatou

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Rachid Hamatou est un reporter-photographe et écrivain algérien, correspondant du quotidien Liberté, né en 1960 à El Madher dans la wilaya de Batna.

Biographie

Né le aux environs d'El Madher au pied du mont Tader azougheh, soit Kef Hmmar[2]. En 1966 il déménage à Batna, et dès le début des années 1970, il habite dans le quartier du stand, puis à la cité Chikhi. Pendant son adolescence il suit ses cours au lycée technique El Bachir El Ibrahimi[3]. Une enseignante de langue française de ce lycée a toujours admiré ses écrits et décide de lui offrir son premier appareil photographique, un Ricoh modèle KR10, avec lequel il commence sa vie de photographe[3].

Rachid Hamatou était fonctionnaire à la maison de la culture de Batna, puis enseignant de la langue française et enseignant de photographie à l’École régionale des beaux-arts de Batna[3]. Enfin il devient journaliste et photographe, il a travaillé pour l’hebdomadaire El Aurès, puis six ans au quotidien Le Matin et deux ans à El Watan, en tant que journaliste-photographe[4]. Actuellement, il travaille au journal Liberté[3].

Il a réalisé des expositions de photos en Algérie et à l'étranger[3]. Sa première exposition photographique se déroula à Tizi ouzou dans les années 1980, dans le cadre d'un échange, Djurdjura-Aurès. Puis il enchaîne avec des expositions en France (Marseille, Paris) ou il est resté pendant 4 ans, Barcelone[4],[3].

Du 27 au dans la commune de Taghit, lors de la rencontre organisée par le Haut Commissariat à l'Amazighité, Rachid Hamatou a fait une présentation de son livre « Raconte-moi les Aurès »[5]. Ce livre est une coédition entre le Haut Commissariat à l'Amazighité et les éditions Tira[5].

Œuvres

Livres

  • Les mœurs, us, coutumes et traditions, histoire et contexte politique en Algérie, 2006
  • Raconte-moi les Aurès, 2014[6],[5].

Notes et références

  1. ↑ Mohamed Kali, « Expo photos à Aïn Témouchent : « Rachid Hamatou aux cimes d’Arris » », El Watan, no 6949,‎ , p. 18 (ISSN 1111-0333, lire en ligne).
  2. ↑ N. B., « Portrait: «  Rachid Hamatou : l’écriture et la lutte » », Liberté,‎ (ISSN 1111-4290, lire en ligne).
  3. ↑ a b c d e et f « Rachid Hamatou », sur dcbatna.dz (consulté le ).
  4. ↑ a et b R. C., « Raconte-moi les Aurès : « Rachid Hamatou expose à Biskra » », Liberté,‎ (ISSN 1111-4290, lire en ligne).
  5. ↑ a b et c « Une œuvre de notre confrère Rachid Hamatou : «  Enfin un beau livre consacré aux Aurès ! » », Liberté,‎ (ISSN 1111-4290, lire en ligne).
  6. ↑ « Raconte-moi les Aurès », sur exovisions.fr (consulté le ).

Bibliographie

  • Achour Cheurfi, Le livre des peintres algériens : dictionnaire biographique, Édition ANEP, 2004 (ISBN 9961756649) (ISBN 9789961756645) p. 117
  • Florence Beaugé, Algérie de la guerre à la mémoire : Paris-Alger : quel avenir ?, Éditions Chihab, 2008 (ISBN 9789961637548) p. 98,

Articles connexes