Pulversheim

Pulversheim
Pulversheim
L'église Saint-Étienne.
Blason de Pulversheim
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Haut-Rhin
Arrondissement Mulhouse
Intercommunalité Mulhouse Alsace Agglomération
Maire
Mandat
Christophe Toranelli
2020-2026
Code postal 68840
Code commune 68258
Démographie
Gentilé Pulversheimois
Population
municipale
3 080 hab. (2021 en évolution de +5,44 % par rapport à 2015)
Densité 360 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 50′ 16″ nord, 7° 18′ 23″ est
Altitude Min. 222 m
Max. 243 m
Superficie 8,56 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Mulhouse
(banlieue)
Aire d'attraction Mulhouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Wittenheim
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Pulversheim
Liens
Site web pulversheim.fr

Pulversheim (prononcé [pylvəʁsaim] Écouter ; nom dialectal : Pulverscha) est une commune de la banlieue de Mulhouse[1] située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace. Elle est membre de Mulhouse Alsace Agglomération et fait partie des 20 communes de l'agglomération mulhousienne[2] ayant l'obligation de mettre en place une ZFE-m avant le 31 décembre 2024[3]. Ses habitants sont appelés les Pulversheimois et les Pulversheimoises.

Géographie

Localisation

La commune de Pulversheim, située au centre du Bassin Potassique, compte environ 3000 habitants. Son ban s’étend sur 856 hectares.

Appartenant au canton d'Ensisheim et à l’arrondissement de Mulhouse, Pulversheim a été tôt marquée par l’exploitation de la potasse qui a largement contribué au développement du village. À l’ouverture de la mine Rodolphe, en 1913, la population compte 260 habitants, 675 en 1936 et cette croissance s’est poursuivie pour atteindre 2 200 habitants en 1973.

Avec son adhésion à la communauté de l’agglomération mulhousienne Sud-Alsace (CAMSA) et sa situation stratégique au centre du département, la commune est confrontée à de nouveaux enjeux territoriaux. Malgré le développement de l’urbanisme, de zones d’activités, la commune reste dominé par des espaces naturels, forêts, vergers, espaces agricoles, la rivière Thur et ses marais au nord-ouest.

Communes limitrophes de Pulversheim
Ungersheim Ensisheim
Staffelfelden Pulversheim Ruelisheim
Wittelsheim Wittenheim

Hydrographie

Réseau hydrographique

La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Thur, la Vieille Thur, le canal d'evacuation des Mines de Potasse, le Feidbach Externe[4], le Krebsbach[5] et le Veidruntz[6],[7],[Carte 1].

La Thur, d'une longueur de 53 km, prend sa source dans la commune de Wildenstein et se jette dans l'Ill à Ensisheim, après avoir traversé 20 communes[8]. Les caractéristiques hydrologiques de la Thur sont données par la station hydrologique située sur la commune. Le débit moyen mensuel est de 6,11 m3/s[Note 1]. Le débit moyen journalier maximum est de 126 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 153 m3/s, atteint le [9].

La Vieille Thur, d'une longueur de 26 km, prend sa source dans la commune et se jette dans la Lauch à Eguisheim, après avoir traversé 13 communes[10].

Le canal d'évacuation des Mines de Potasse, d'une longueur de 28 km, est un canal, chenal non navigable qui relie la commune de Staffelfelden à Staffelfelden, où il se jette dans la Thur[11].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Pulversheim[Note 2].

Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : l'étang des Coucous (0,6 ha)[Carte 1],[12].

Gestion et qualité des eaux

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Ill Nappe Rhin ». Ce document de planification concerne la nappe phréatique rhénane, les cours d'eau de la plaine d'Alsace et du piémont oriental du Sundgau, les canaux situés entre l'Ill et le Rhin et les zones humides de la plaine d'Alsace. Le périmètre s’étend sur 3 596 km2. Il a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la région Grand Est[13].

La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de °C)[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 672 mm, avec 8,8 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Colmar-Meyenheim », sur la commune de Meyenheim à 9 km à vol d'oiseau[16], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 595,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,9 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −24,8 °C, atteinte le [Note 3],[17],[18].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[19]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].

Urbanisme

Typologie

Au , Pulversheim est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[21]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mulhouse[Note 4], une agglomération intra-départementale regroupant 20 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 5],[22],[23]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mulhouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 6],[23]. Cette aire, qui regroupe 132 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[24],[25].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (43,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (44,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (41,7 %), terres arables (29,2 %), zones urbanisées (14 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (9 %), zones agricoles hétérogènes (3,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,8 %), mines, décharges et chantiers (0,4 %)[26]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Histoire

Le village de Pulversheim est entré dans l’histoire au VIIIe siècle, sous son nom primitif de Wolfrigesheim ou Wolfriegeshaim, son orthographe ayant subi au cours des siècles de nombreuses mutations. Étymologiquement la partie génétique provient du gothique wulf ou wolf, (syllabe qu’on retrouve dans le nom de nombreuses localités). Une ébauche de l’orthographe actuelle apparaît dès le XIVe siècle avec Bulffersheim (1369) et Wulfersheim (1544) puis Pulversheim (1725). Avec le temps les loups (wulf, wolf) ont été mutés en oiseau, coucou, messager du printemps[réf. souhaitée].

La situation de Pulversheim sur une ancienne voie celtique a favorisé le passage des tribus vers l’ouest. Les successeurs de Clovis créèrent le duché d’Alsace et accrurent leur autorité sur notre région, possédant des terres allant du Sundgau jusqu’à Seltz.

Sous les Carolingiens, Pulversheim dépend du Sundgau et l’évêque de Bâle. La Révolution, en créant de nouvelles divisions administratives, fait appartenir la commune de Pulversheim au département du Haut-Rhin, au district de Colmar et au canton d’Ensisheim.

De l’ancien village agricole à une cité moderne

Dès son origine, le village a une vocation agricole. Les habitants sont pauvres et pour la quasi-totalité ont travaillé comme bûcheron ou journalier. Entre 1790 et 1830, la population passe de 150 habitants à 347. La démographie du village chute à partir de 1870, et compte 280 habitants en 1885.

Le gisement potassique a provoqué dans les villages situés dans le périmètre du bassin potassique dont Pulversheim est le centre, un bouleversement total et une transformation rapide de leur structure économique, sociale et culturelle.

De 250 habitants en 1920, la population passe à 376 en 1930. Grâce à l’agrandissement de la cité minière, la population progresse rapidement : 1 000 habitants en 1946 ; 2 292 au recensement de et 2 917 au recensement complémentaire de 2005. La reconversion économique du bassin potassique oriente aujourd’hui la population active vers les sites industriels de l’entreprise « Automobiles Peugeot », vers les entreprises chimiques et pharmacologiques, notamment en Suisse. Après avoir développé l’intercommunalité en fondant la communauté de communes du Bassin Potassique, Pulversheim et la majorité des communes limitrophes ont rejoint en la communauté d’agglomération mulhousienne Sud-Alsace (CAMSA), devenue Mulhouse Alsace Agglomération en 2009.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Administration municipale

La mairie.

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 2 500 et 3 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 23[27].

Voici le partage des sièges au sein du conseil municipal de Pulversheim en 2020 :

Groupe Effectif Statut
« Ensemble vers la transparence » (DVC) 18 majorité
« Pulversheim demain » (UDI) 5 opposition

Liste des maires

Depuis l'après-guerre, six maires se sont succédé à la tête de la commune.

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
Xavier Himmelspach   Démissionnaire pour raisons politiques
Les données manquantes sont à compléter.
Camille Hueber    
Les données manquantes sont à compléter.
Georges Bourgeois RPF puis RS puis UNR
puis UDR puis RPR
Huissier de justice
Sénateur du Haut-Rhin (1948 → 1951)
Député du Haut-Rhin (1951 → 1958)
Député du Haut-Rhin (2e circ.) (1958 → 1978)
Conseiller général d'Ensisheim (1945 → 1973)
Président du conseil général du Haut-Rhin (1958 → 1973)
Pierre Meyer[28] RPR Directeur d'école retraité, maire honoraire
Claude Ott[29]   Proviseur retraité, maire honoraire
Adjoint au maire (1983 → 1995)
Vice-président de la CC du Bassin Potassique
Chevalier de la Légion d'honneur, officier des Palmes académiques
Louis Feder DVD  
Jean-Claude Eicher UDI Contremaître retraité, adjoint au maire (2001 → 2008)
Vice-président de Mulhouse Alsace Agglomération
Réélu en 2014[30]
[31] En cours
(au 19 janvier 2021)
Christophe Toranelli[32],[33] DVC Professeur d'électrotechnique
Conseiller communautaire délégué de M2A

Enseignement

Sur la commune se trouve le lycée des métiers Charles de Gaulle, établissement proposant des formations de bac pro, CAP et BTS en chaudronnerie, électrotechnique et sécurité[34].

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].

En 2021, la commune comptait 3 080 habitants[Note 7], en évolution de +5,44 % par rapport à 2015 (Haut-Rhin : +0,59 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
157187208286347335324337335
1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
329340350321281274291287303
1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3093072832622713766751 0501 510
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 7471 8762 1302 0062 0212 2662 7442 8192 925
2017 2021 - - - - - - -
2 9603 080-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

Héraldique


Blason de Pulversheim

Les armes de Pulversheim se blasonnent ainsi :

D'or à trois roses de gueules, boutonnées d'or et feuillées de sinople, deux et un[39].

Annexes

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Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 21/05/2024 à 02:05 TU à partir des 571 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/01/1975 au 01/04/2024.
  2. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  3. Les records sont établis sur la période du au .
  4. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  5. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Mulhouse comprend une ville-centre et 19 communes de banlieue.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes

  1. a et b « Réseau hydrographique de Pulversheim » sur Géoportail (consulté le 15 juin 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

  1. Communes constituant l'agglomération mulhousienne (Mulhouse + Banlieue) sur le site de l'INSEE
  2. Legifrance - Arrêté du 22 décembre 2021 établissant les listes d'agglomérations de plus de 100 000, 150 000 et 250 000 habitants conformément à l'article R. 221-2 du code de l'environnement et à l'article L. 2213-4-1 du code général des collectivités territoriales : « Baldersheim, Bollwiller, Brunstatt-Didenheim, Feldkirch, Habsheim, Illzach, Kingersheim, Lutterbach, Morschwiller-le-Bas, Mulhouse, Pfastatt, Pulversheim, Reiningue, Richwiller, Riedisheim, Rixheim, Sausheim, Staffelfelden, Wittelsheim, Wittenheim. »
  3. Legifrance - Article L. 2213-4-1 du code général des collectivités territoriales
  4. Sandre, « le Feidbach Externe »
  5. Sandre, « le Krebsbach »
  6. Sandre, « le Veidruntz »
  7. « Fiche communale de Pulversheim », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  8. Sandre, « la Thur »
  9. « Station hydrométrique La Thur à Pulversheim », sur l'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, (consulté le ).
  10. Sandre, « la Vieille Thur »
  11. Sandre, « le canal d'évacuation des Mines de Potasse »
  12. « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
  13. « SAGE Ill Nappe Rhin », sur gesteau.fr (consulté le ).
  14. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  15. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  16. « Orthodromie entre Pulversheim et Meyenheim », sur fr.distance.to (consulté le ).
  17. « Station Météo-France « Colmar-Meyenheim », sur la commune de Meyenheim - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  18. « Station Météo-France « Colmar-Meyenheim », sur la commune de Meyenheim - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  19. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  20. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  21. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  22. « Unité urbaine 2020 de Mulhouse », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  23. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Pulversheim ».
  24. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mulhouse », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  27. Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  28. « Disparition du maire honoraire Pierre Meyer », Dernières Nouvelles d'Alsace,‎ (lire en ligne)
  29. « Le décès de Claude Ott », L'Alsace,‎ (lire en ligne)
  30. « 2e mandat pour Jean-Claude Eicher : Maire sortant, Jean-Claude Eicher a été réélu premier magistrat vendredi soir à l’issue de la séance d’installation du nouveau conseil municipal. », Dernières Nouvelles d'Alsace,‎ (lire en ligne)
  31. M.H., « Pulversheim : Christophe Toranelli élu maire : Vainqueur du duel qui, le 15 mars dernier, a opposé sa liste à celle de Jean-Claude Eicher, premier magistrat sortant, Christophe Toranelli a été élu maire de Pulversheim. », Dernières Nouvelles d'Alsace,‎ (lire en ligne)
  32. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  33. Extrait de la fiche de M. Christophe TORANELLI, sur lesbiographies.com
  34. « Le Lycée des métiers Charles de Gaulle » (consulté le ).
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. « Pulversheim » [PDF], sur archives.haut-rhin.fr, Archives départementales du Haut-Rhin (consulté le ).