Refractions Research, Paul Ramsey, Dave Blasby, Kevin Neufeld, Mark Cave-Ayland, Regina Obe, Sandro Santilli, Olivier Courtin, Nicklas Avén, Bborie Park, Pierre Racine, Jeff Lounsbury, Chris Hodgson, Jorge Arévalo, Mateusz Loskot, Norman Vine, Carl Anderson, Ralph Mason, Klaus Foerster, Bruno Wolff III, Markus Schaber
Le nom provient de la contraction de PostgreSQL et de GIS (acronyme anglais de SIG). Concrètement, PostGIS permet le traitement d'objets spatiaux dans PostgreSQL, autorisant le stockage des objets graphiques en base de données pour les SIG, un peu comme le Spatial Database Engine (SDE) de ESRI, la base de données spatiale d'IBM Informix Dynamic Server ou l'extension spatiale d'Oracle.
Histoire
La première version a été publiée en 2001 par Refractions Research sous la Licence publique générale GNU. Une version stable 1.0 est sortie le .
En 2006, PostGIS a été enregistré conforme aux standards établis par l'Open Geospatial Consortium, pour l'utilisation simple du SQL. Il suit les recommandations de l'OpenGIS.
Caractéristiques
Logiciel libre
S'appuie sur GDAL (raster), OGR (vecteur), PROJ.4 (projections), GEOS (géométrie)...
Import/export grâce à GDAL/OGR
Fonctions de base SIG (rééchantillonnage, rognage, intersection, union, projection...)
Fonctions algébriques
Utilisation des rasters et des vecteurs
Robuste et fiable (contrôle de cohérence)
Pas vraiment de limite de taille (max. 32 To)
Utilisation
Beaucoup de logiciels peuvent utiliser PostGIS comme base de données, dont :
GEO Software de la société Business Geografic
ArcGIS (via ST-Links PgMap, ZigGIS, ArcSDE et autres connecteurs tiers)
Cadcorp SIS distribué en France par la société Geomod